« C’est filles dont on parle ne viennent pas de Saly ou de Mbour, car elles y ont leur famille. Le plus souvent, elles viennent de Thiès et Rufisque », renseigne A. S. Loin de leurs foyers, elles louent des appartements et vaquent à leurs occupations. Las d’entendre des dénigrements concernant la fréquentation de sa boîte, A.S se déchaîne : « On parle des boîtes de nuit, mais ce qui se passe dans les hôtels et les résidences est encore pire. Dans une boîte de nuit, les couples ne peuvent rien faire ».
Après le dancing, la soirée se poursuit dans les hôtels. « Ici, reconnaît-il, on peut donner un bisou mais on ne s’embrasse pas parce que la sécurité y veille. Nous avons des règles strictes. Il est interdit d’insulter. Et la bagarre n’en parlons même pas, sinon l’accès est interdit pour 3 mois ». Ce qui fait que depuis 1ans, il n’y a pas d’intervention policière à l’Etage. Un sacre dont il se glorifie.
Après le dancing, la soirée se poursuit dans les hôtels. « Ici, reconnaît-il, on peut donner un bisou mais on ne s’embrasse pas parce que la sécurité y veille. Nous avons des règles strictes. Il est interdit d’insulter. Et la bagarre n’en parlons même pas, sinon l’accès est interdit pour 3 mois ». Ce qui fait que depuis 1ans, il n’y a pas d’intervention policière à l’Etage. Un sacre dont il se glorifie.