«On a négocié pendant plus d’un an, mais on se retrouve avec zéro», a déploré Pape Gora Ciss, secrétaire général des travailleurs de Gecamines du site de Diack. Il ajoute que «les salaires sont misérables et les conditions de travail inhumaines».
Selon eux, des acquis sont aussi supprimés par le nouveau directeur, à travers la caisse de solidarité «qui fonctionnait pendant plus de 18 ans», ainsi que l’Ipres.
M. Ciss et ses camarades interpellent les autorités nouvelles autorités et menacent d’empêcher prochainement toute activité de cette unité d’exploitation minière.
A noter que depuis l’exploitation du basalte à Ngoudiane, les populations dénoncent «un véritable calvaire», avec une «pollution atmosphérique, un secteur de maraîchage anéanti, des sociétés qui se soucient peu des droits des travailleurs».
Selon eux, des acquis sont aussi supprimés par le nouveau directeur, à travers la caisse de solidarité «qui fonctionnait pendant plus de 18 ans», ainsi que l’Ipres.
M. Ciss et ses camarades interpellent les autorités nouvelles autorités et menacent d’empêcher prochainement toute activité de cette unité d’exploitation minière.
A noter que depuis l’exploitation du basalte à Ngoudiane, les populations dénoncent «un véritable calvaire», avec une «pollution atmosphérique, un secteur de maraîchage anéanti, des sociétés qui se soucient peu des droits des travailleurs».