Après l’interdiction de leur marche à cause de la pandémie de la Covid-19, ils ont tenu un point de presse pour condamner «l’expropriation des habitants du village de recasement social Trypano (Ndlr, Lépreux)».
Les activistes alertent que plusieurs familles vulnérables risquent de se retrouver dehors et sans toit à cause du partage du site.
En fait, l’arrêté ministériel n° 1642 en date du 21 février 2011, autorise le lotissement de restructuration du site qui couvre une superficie de 02,06 hectares et qui comprend 77 parcelles numérotés de 1 à 77, d’une contenance de 260 à 350 mètres carrés chacune. Mais le constat, selon les activistes, c’est qu’au lieu de 77 parcelles, ils ont recensés 84 parcelles d’une contenance environ de 120 à 130 m2 par parcelle.
Preuve, disent-ils, que l’arrêté a été violé. Aujourd’hui, informe Frapp, les nouveaux acquéreurs de parcelles viennent casser les anciennes toilettes du village. Une manifestation est prévue le 18 décembre prochain.
"L'As"
Les activistes alertent que plusieurs familles vulnérables risquent de se retrouver dehors et sans toit à cause du partage du site.
En fait, l’arrêté ministériel n° 1642 en date du 21 février 2011, autorise le lotissement de restructuration du site qui couvre une superficie de 02,06 hectares et qui comprend 77 parcelles numérotés de 1 à 77, d’une contenance de 260 à 350 mètres carrés chacune. Mais le constat, selon les activistes, c’est qu’au lieu de 77 parcelles, ils ont recensés 84 parcelles d’une contenance environ de 120 à 130 m2 par parcelle.
Preuve, disent-ils, que l’arrêté a été violé. Aujourd’hui, informe Frapp, les nouveaux acquéreurs de parcelles viennent casser les anciennes toilettes du village. Une manifestation est prévue le 18 décembre prochain.
"L'As"