La chasse aux sorcières est annoncée. Mais, elle ne peut avoir lieu. Car « extirper » du mouvement pompeusement dénommé « génération du concret » les « voleurs » commencerait ou finirait par pendre son mentor : Karim Wade, dont les « mécomptes » de l’Anoci, qu’il présidait ont été étalés au grand jour. En effet, Karim a équipé son bureau de l'immeuble Tamaro à 750 millions de nos francs. Il doit être d’or. Sa cupidité et ses frasques sont telles qu’il est l’objet d’une plainte pour « détournement de deniers publics » au même titre que son père. Le dossier est pendant devant le tribunal de Paris.
Les thuriféraires de la « génération du concret » n’extirperont non plus les « trompeurs ». Car, le faisant, nul d’eux ne restera dans la salle. Ils sont tous autour de Karim, rien que pour des avantages.
Quels sont ses thèses politiques ou ses hauts faits économiques ?
Elles n’existent que dans leur imagination. Car, dans la réalité, Karim est un piètre orateur, qui a été médiocre dans les études. Simple courtier dans une banque londonienne, il a gaspillé des milliards pour ne livrer aux Sénégalais que des routes étroites, inachevées et surfacturées. Le tunnel de Soumbedioune qu’il a fait édifier prend eau depuis la première semaine de sa livraison à la circulation.
Extirper les « trompeurs » devrait commencer ou finir avec Karim. En vérité, les « militants » de Karim ont lancé leur slogan pour cacher le hold-up financier de celui-ci et de sa famille. Les seconds couteaux comptent sur la réussite de leur forfait pour continuer à se rincer les gorges, se remplir les panses et faire la bamboula. Les apatrides finiront mal !
La Redaction XIBAR.NET -
Les thuriféraires de la « génération du concret » n’extirperont non plus les « trompeurs ». Car, le faisant, nul d’eux ne restera dans la salle. Ils sont tous autour de Karim, rien que pour des avantages.
Quels sont ses thèses politiques ou ses hauts faits économiques ?
Elles n’existent que dans leur imagination. Car, dans la réalité, Karim est un piètre orateur, qui a été médiocre dans les études. Simple courtier dans une banque londonienne, il a gaspillé des milliards pour ne livrer aux Sénégalais que des routes étroites, inachevées et surfacturées. Le tunnel de Soumbedioune qu’il a fait édifier prend eau depuis la première semaine de sa livraison à la circulation.
Extirper les « trompeurs » devrait commencer ou finir avec Karim. En vérité, les « militants » de Karim ont lancé leur slogan pour cacher le hold-up financier de celui-ci et de sa famille. Les seconds couteaux comptent sur la réussite de leur forfait pour continuer à se rincer les gorges, se remplir les panses et faire la bamboula. Les apatrides finiront mal !
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