Le texte a indiqué que depuis le 1e août dernier, à cause de la surtaxe, les cartes prépayées qu’utilisent nos compatriotes de la diaspora (Europe et Amérique) ont augmenté en moyenne de prés de 50 %, tandis que l’Etat, au lieu de soutenir la politique de baisse des prix par les opérateurs, a augmenté la redevance d’accès aux services téléphoniques de 3 à 5 % (entre 12 et 14 milliards de francs qui seront supportés par les clients).
« Sur les appels internationaux, la Sonatel n’encaissera les sommes dues par les opérateurs internationaux qu’au mois de décembre 2010 ou janvier 2011, en raison des procédures de la comptabilité internationale conformément à la réglementation des télécoms », a dit le texte. Toutefois, l’intersyndicale a précisé que son action, loin d’être un défi aux autorités de ce pays, s’inscrit dans la logique de conserver vaille que vaille un des patrimoines économiques du Sénégal. Elle considère que l’instauration d’une taxe sur les appels internationaux à travers le décret N°2010-632 du 28 mai 2010 et le refus d’octroyer la 3G à la Sonatel, est une manière de programmer la mort de cette boite.
« Sur les appels internationaux, la Sonatel n’encaissera les sommes dues par les opérateurs internationaux qu’au mois de décembre 2010 ou janvier 2011, en raison des procédures de la comptabilité internationale conformément à la réglementation des télécoms », a dit le texte. Toutefois, l’intersyndicale a précisé que son action, loin d’être un défi aux autorités de ce pays, s’inscrit dans la logique de conserver vaille que vaille un des patrimoines économiques du Sénégal. Elle considère que l’instauration d’une taxe sur les appels internationaux à travers le décret N°2010-632 du 28 mai 2010 et le refus d’octroyer la 3G à la Sonatel, est une manière de programmer la mort de cette boite.