L'ancien ambassadeur Falilou Kane, qui analysait, hier, sur les ondes de Sud Fm, la rupture des relations diplomatiques entre le Sénégal et l'Iran, après qu'il a été prouvé que les Iraniens donnaient des armes au Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc), n'a pas manqué de s'attarder sur les doutes émises quant à une éventuelle implication de la Gambie dans cette affaire. «Compte tenu de nos relations, du fait que nous sommes dans le même territoire, il y a lieu d'aller plus loin en faisant des enquêtes. Je pense que dans le passé, on l'avait fait. Mais, selon les déclarations qui avaient été faites, on semblait dédouaner la Gambie. Est-ce c'est le cas aujourd'hui ?».
En tout état de cause, le diplomate de carrière à la retraite, qui a eu à servir à Bruxelles, estime qu'«il appartiendra au gouvernement sénégalais, compte tenu de ce qui sera fait, dit et prouvé, de prendre des mesures pour prévenir de telles failles dans notre système de sécurité. Pour éviter qu'à l'avenir des armes puissent arriver dans notre pays, sans que l'on ne soit au courant».
Par ailleurs, en ce qui concerne la rupture des relations diplomatiques entre le Sénégal et l'Iran, l'auteur de «Œil d’aigle sur la diplomatie sénégalaise de 1960 à nos jours» est d'avis que cette situation nécessite que l'Assemblée nationale se réunisse pour voter une motion de soutien, «pour appuyer le gouvernement dans son attitude».
Barka Isma BA le populaire
En tout état de cause, le diplomate de carrière à la retraite, qui a eu à servir à Bruxelles, estime qu'«il appartiendra au gouvernement sénégalais, compte tenu de ce qui sera fait, dit et prouvé, de prendre des mesures pour prévenir de telles failles dans notre système de sécurité. Pour éviter qu'à l'avenir des armes puissent arriver dans notre pays, sans que l'on ne soit au courant».
Par ailleurs, en ce qui concerne la rupture des relations diplomatiques entre le Sénégal et l'Iran, l'auteur de «Œil d’aigle sur la diplomatie sénégalaise de 1960 à nos jours» est d'avis que cette situation nécessite que l'Assemblée nationale se réunisse pour voter une motion de soutien, «pour appuyer le gouvernement dans son attitude».
Barka Isma BA le populaire