‘’J’ai loué mon son stand à 500.000 francs. C’est trop cher, et on n’est pas sûr de s’en sortir’’, a fait part à l’APS l’exposant malien El Hadji Ousmane Touré, guérisseur traditionnel.
Trouvé confortablement assis à l’intérieur de son stand où il expose divers produits de la médecine traditionnelle, le vieux Touré a invité les autorités du Centre international du Commerce extérieur du Sénégal (CICES) à ‘’revoir les prix à la baisse’’. ‘’Dans le cas contraire, selon lui, les affaires ne vont pas marcher’’.
Ce cri du cœur est partagé par Yancouba Dramane, vendeur de bijoux, venu du Nigeria. Selon lui, le prix de la location des stands ’’n’est pas à la portée des exposants’’.
Outre la cherté du local et la rareté de la clientèle, ‘’tout se passe très bien’’, a dit Yancouba Dramane, précisant que ‘’pour le moment la plupart des clients viennent juste visiter mais n’achètent pas’’.
L’exposant nigérian explique cette situation par la cherté de la vie de manière générale, tout en déplorant la date arrêtée pour la tenue de la FIARA. ‘’Le mois est très avancé’’, selon lui.
‘’Tout cela a fait que depuis le début de la FIARA, il n’y a pas une grande affluence’’, note également une exposante de nationalité burkinabé. Elle pointe du doigt la date choisie pour l’organisation de la manifestation. ‘’Au Sénégal, dit-elle, à partir du 5, le mois est déjà avancé’’.
Ouverte jeudi, la FIARA se poursuit au Centre international du Commerce extérieur du Sénégal jusqu’au 22 avril.
SOURCE:APS
Trouvé confortablement assis à l’intérieur de son stand où il expose divers produits de la médecine traditionnelle, le vieux Touré a invité les autorités du Centre international du Commerce extérieur du Sénégal (CICES) à ‘’revoir les prix à la baisse’’. ‘’Dans le cas contraire, selon lui, les affaires ne vont pas marcher’’.
Ce cri du cœur est partagé par Yancouba Dramane, vendeur de bijoux, venu du Nigeria. Selon lui, le prix de la location des stands ’’n’est pas à la portée des exposants’’.
Outre la cherté du local et la rareté de la clientèle, ‘’tout se passe très bien’’, a dit Yancouba Dramane, précisant que ‘’pour le moment la plupart des clients viennent juste visiter mais n’achètent pas’’.
L’exposant nigérian explique cette situation par la cherté de la vie de manière générale, tout en déplorant la date arrêtée pour la tenue de la FIARA. ‘’Le mois est très avancé’’, selon lui.
‘’Tout cela a fait que depuis le début de la FIARA, il n’y a pas une grande affluence’’, note également une exposante de nationalité burkinabé. Elle pointe du doigt la date choisie pour l’organisation de la manifestation. ‘’Au Sénégal, dit-elle, à partir du 5, le mois est déjà avancé’’.
Ouverte jeudi, la FIARA se poursuit au Centre international du Commerce extérieur du Sénégal jusqu’au 22 avril.
SOURCE:APS