Les distanciations financières déjà créées par les bailleurs de fonds par rapport à ces trois maladies préoccupent les dirigeants du monde. Hier, lors de la tenue au Lac Rose, de l’atelier régional sur la subvention accordée au Fonds mondial de la santé, la question a beaucoup préoccupé la société civile africaine. Les analystes de la controverse créée sur l’impact de la crise financière mondiale et ses conséquences en Afrique allaient être mieux édifiés sur la question.
C’est parce qu’en effet, les donateurs du Fonds ont surpris plus d’un lorsqu’ils ont annoncé à l’issue de la rencontre de New Delhi, en Inde, les 7 et 8 novembre derniers, qu’ils ne pourront plus respecter l’ensemble des propositions soumises au 8ème round des négociations pour le financement de la lutte contre le Sida, le paludisme et la Tuberculose. Et ce qui semble pus grave, c’est que les appuis budgétaires au profit des pays en développement dans les domaines de la santé risquent d’être également remis en cause.
Selon l’avis de Cheikh Tidiane Tall, directeur exécutif du Conseil africain des ONG d’Action contre le Sida, qui s’est appesanti sur la conséquence et les sombres perspectives de cette baisse importante lors de cet atelier continental, les conclusions sont très alarmantes. La rencontre qui a regroupé les participants de 23 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre a été l’occasion de tenir un forum des organisations de la société civile exécutives des projets subventionnés par le fonds mondial. Une rencontre parallèle qui visait à accroïtre les connaissances des dirigeants d’ONG concernant l’assistance technique et le partage des informations stratégiques.
Thierry Anderson, représentant les bailleurs de fonds a pour sa part invité les organisations de la société civile africaine à mettre en place de nouvelles stratégies pour mieux gérer les ressources existantes. Le fonds mondial travaille dans 136 pays et a financé l’année derni deère pour un montant global 1,5 milliards de dollars.
A l’adresse des séminaristes, il a rappelé les critères de soumission des dossiers de demande de financement qui doivent être élaborés avec qualité. Lui-même séropositif depuis 23 ans, Thierry Anderson qui est conseiller au fonds mondial en appelle à la conception de stratégies de lutte viable pour éradiquer ces fléaux malgré le fléchissement des contributions dues à la crise financière que traversent les principaux pays donateurs.
source sud quotidien
C’est parce qu’en effet, les donateurs du Fonds ont surpris plus d’un lorsqu’ils ont annoncé à l’issue de la rencontre de New Delhi, en Inde, les 7 et 8 novembre derniers, qu’ils ne pourront plus respecter l’ensemble des propositions soumises au 8ème round des négociations pour le financement de la lutte contre le Sida, le paludisme et la Tuberculose. Et ce qui semble pus grave, c’est que les appuis budgétaires au profit des pays en développement dans les domaines de la santé risquent d’être également remis en cause.
Selon l’avis de Cheikh Tidiane Tall, directeur exécutif du Conseil africain des ONG d’Action contre le Sida, qui s’est appesanti sur la conséquence et les sombres perspectives de cette baisse importante lors de cet atelier continental, les conclusions sont très alarmantes. La rencontre qui a regroupé les participants de 23 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre a été l’occasion de tenir un forum des organisations de la société civile exécutives des projets subventionnés par le fonds mondial. Une rencontre parallèle qui visait à accroïtre les connaissances des dirigeants d’ONG concernant l’assistance technique et le partage des informations stratégiques.
Thierry Anderson, représentant les bailleurs de fonds a pour sa part invité les organisations de la société civile africaine à mettre en place de nouvelles stratégies pour mieux gérer les ressources existantes. Le fonds mondial travaille dans 136 pays et a financé l’année derni deère pour un montant global 1,5 milliards de dollars.
A l’adresse des séminaristes, il a rappelé les critères de soumission des dossiers de demande de financement qui doivent être élaborés avec qualité. Lui-même séropositif depuis 23 ans, Thierry Anderson qui est conseiller au fonds mondial en appelle à la conception de stratégies de lutte viable pour éradiquer ces fléaux malgré le fléchissement des contributions dues à la crise financière que traversent les principaux pays donateurs.
source sud quotidien
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