A distance, tout un chacun peut se former dans n’importe quel domaine. A l’assistance, le chef de l’Etat a montré la voie tracée par le Sénégal, qui a initié, entre autre, une politique de démocratisation de l’accès à l’Internet et aux infrastructures des Tic à travers des cyber-cases.
Ce projet incubateur, au service de la lutte contre la fracture numérique, consiste à installer à travers le pays des centres contenant un espace Internet, de visioconférence, de spectacles et de formation des jeunes sur divers métiers utiles dans tous les secteurs : agriculture, multimédias, maintenance, développements... Adoptant la démarche de la pédagogie par l’exemple, le chef de l’Etat indique qu’au Sénégal, un prototype a déjà été installé à Poponguine et dix autres sont prévus cette année, afin de convaincre les bailleurs qui pourraient aider notre pays à financer d’autres cyber-cases. En plus des cyber-cases, le chef de l’Etat propose, comme cela se fait au Sénégal, de faire évoluer le système éducatif africain avec l’usage de l’ordinateur de la maternelle à l’université.
« Aujourd’hui, dira-t-il, avec les cases des Tout-petits, les enfants se familiarisent à l’outil informatique et dans certaines universités, les étudiants reçoivent des cours à distance dispensés par des professeurs de grandes universités occidentales, américaines et indiennes.
De manière générale, Me Wade a expliqué que la réduction de la fracture numérique passe nécessairement par l’accès à l’ordinateur à toutes les catégories socioprofessionnelles. « Il faut par conséquent acheter et distribuer des ordinateurs à tout le monde : les étudiants, les enseignants et même aux enfants à Noël » ; d’où sa conception « Un fonctionnaire un ordinateur, un enseignant un ordinateur, un étudiant un ordinateur ».
Dans le cadre du Fonds de solidarité numérique, le Sénégal a déjà acquis 30.000 ordinateurs offerts par la société AXA et s’est doté d’un centre de reconditionnement d’ordinateurs, avec l’appui de la commune de Besançon, en France.
En dehors du secteur éducatif, Me Wade a sensibilisé ses pairs sur la nécessité de renforcer la télémédecine en Afrique, tout en saluant la mise en place par l’Inde, du projet d’interconnexion des 53 Etats africains en fibre optique avec des services de télémédecine, de télé enseignement et de visio conférences par satellite entre chefs d’Etat.
Ce projet incubateur, au service de la lutte contre la fracture numérique, consiste à installer à travers le pays des centres contenant un espace Internet, de visioconférence, de spectacles et de formation des jeunes sur divers métiers utiles dans tous les secteurs : agriculture, multimédias, maintenance, développements... Adoptant la démarche de la pédagogie par l’exemple, le chef de l’Etat indique qu’au Sénégal, un prototype a déjà été installé à Poponguine et dix autres sont prévus cette année, afin de convaincre les bailleurs qui pourraient aider notre pays à financer d’autres cyber-cases. En plus des cyber-cases, le chef de l’Etat propose, comme cela se fait au Sénégal, de faire évoluer le système éducatif africain avec l’usage de l’ordinateur de la maternelle à l’université.
« Aujourd’hui, dira-t-il, avec les cases des Tout-petits, les enfants se familiarisent à l’outil informatique et dans certaines universités, les étudiants reçoivent des cours à distance dispensés par des professeurs de grandes universités occidentales, américaines et indiennes.
De manière générale, Me Wade a expliqué que la réduction de la fracture numérique passe nécessairement par l’accès à l’ordinateur à toutes les catégories socioprofessionnelles. « Il faut par conséquent acheter et distribuer des ordinateurs à tout le monde : les étudiants, les enseignants et même aux enfants à Noël » ; d’où sa conception « Un fonctionnaire un ordinateur, un enseignant un ordinateur, un étudiant un ordinateur ».
Dans le cadre du Fonds de solidarité numérique, le Sénégal a déjà acquis 30.000 ordinateurs offerts par la société AXA et s’est doté d’un centre de reconditionnement d’ordinateurs, avec l’appui de la commune de Besançon, en France.
En dehors du secteur éducatif, Me Wade a sensibilisé ses pairs sur la nécessité de renforcer la télémédecine en Afrique, tout en saluant la mise en place par l’Inde, du projet d’interconnexion des 53 Etats africains en fibre optique avec des services de télémédecine, de télé enseignement et de visio conférences par satellite entre chefs d’Etat.