Coordonnateur du projet formation professionnelle pour l’emploi et la compétitivité, Idaly Kamara révèle que l’Etat du Sénégal, appuyé par l’AFD et la Banque mondiale, a mis une somme de 40 milliards de FCfa pour la réforme du secteur de la formation professionnelle. «C’est ainsi que le projet a mis en place des innovations importantes pour accompagner ces performances. C’est la première fois qu’on met en place des contrats de performances dans trois lycées techniques (Dakar, Saint-Louis et Kédougou) », a annoncé le coordonnateur de FPEC en marge d’une cérémonie de présentation du répertoire des offres de formation professionnelle et technique et du recueil des textes juridiques de son département.
Ainsi, il convie le secteur privé à les rejoindre pour pouvoir identifier des métiers, les impliquer de leur authentification à la certification et l’insertion des jeunes. « Trois clubs ont été mis en place - horticulture, agriculture et tourisme - qui sont considérés comme des secteurs clés pour l’emploi des jeunes de ce pays.
Il y’a le certificat de spécialité qui est un diplôme à l’issue duquel un jeune peut obtenir durant une formation de courte durée. Des études ont montré que 72% des jeunes qui sortent de l’universités ont exposés au chômage au moment où 40%de ceux qui sortent de l’école primaire sont exposés au chômage », insiste Idaly Kamara.
Il y a la grande réforme qu’on appelle la réforme du financement de la formation professionnelle tech- nique avec la mise en place du fonds pour un jeune qui veut faire sa formation sans en avoir les moyens.
Pour ce faire,une subvention de 72% est disponible pour un montant de 20 milliards. Il sera donc question de veiller à la qualification des jeunes et au renforcement des travailleurs dans le secteur industriel.
Pour sa part, le secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat a relevé l’importance de cette cérémonie. « Les différentes réformes entamées par le ministère, la gestion ou le management de l’information ont été érigés en maillon important de la chaine d’un résultat devant conduire à la personne.
Car pour chaque organisation, l’information est devenue un contributeur essentiel de la performance, un facteur de production aussi important que les matières premières et des ressources humaines.
Les deux documents ont fait l’objet dans le processus d’élaboration d’un large partage d’une réflexion à l’édition, d’une surveillance particulière de la part de l’ensemble de nos collaborateurs, toutes les caractéristiques d’un outil servant la prise de décision », renseigne Amadou Diop.
Il affirme que l’information joue un rôle stratégique dans la vie des entreprises et des organisations dans une société où l’information colligée, la capacité à les sélectionner et à la traiter de manière adéquate et déterminante. « C’est cette capacité qui est une ressource rare. Ces produits contribueront à rendre possible la forme volonté d’enrôler 30% des sortants de cycles fondamentaux de la formation professionnelle et technique.
Ce noble vœu ne peut se réaliser si les acteurs concernés disposent de toute l’information nécessaire à leur orientation »,révèle le secrétaire général du ministère de tutelle.
L’objectif ici est de relever le défi de l’information le plus haut car une information n’est utile en soie et ne le devient que par la compréhension et l’exploitation. Ces deux documents vont ainsi constituer une boussole pour l’ensemble des acteurs et seront des instruments au service du rayonnement de la formation professionnelle et technique. « Ce travail montre toute la différence qu’il y’a entre de simples données brutes et une information contextualisée. En effet, à la différence de l’information, les données ont un caractère plus objectif et mesurable, mais lorsqu’elle sélectionnées et traitées se transforme en information », conclut-il.
Ndèye Rama Cissé (Liberation)
Ainsi, il convie le secteur privé à les rejoindre pour pouvoir identifier des métiers, les impliquer de leur authentification à la certification et l’insertion des jeunes. « Trois clubs ont été mis en place - horticulture, agriculture et tourisme - qui sont considérés comme des secteurs clés pour l’emploi des jeunes de ce pays.
Il y’a le certificat de spécialité qui est un diplôme à l’issue duquel un jeune peut obtenir durant une formation de courte durée. Des études ont montré que 72% des jeunes qui sortent de l’universités ont exposés au chômage au moment où 40%de ceux qui sortent de l’école primaire sont exposés au chômage », insiste Idaly Kamara.
Il y a la grande réforme qu’on appelle la réforme du financement de la formation professionnelle tech- nique avec la mise en place du fonds pour un jeune qui veut faire sa formation sans en avoir les moyens.
Pour ce faire,une subvention de 72% est disponible pour un montant de 20 milliards. Il sera donc question de veiller à la qualification des jeunes et au renforcement des travailleurs dans le secteur industriel.
Pour sa part, le secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat a relevé l’importance de cette cérémonie. « Les différentes réformes entamées par le ministère, la gestion ou le management de l’information ont été érigés en maillon important de la chaine d’un résultat devant conduire à la personne.
Car pour chaque organisation, l’information est devenue un contributeur essentiel de la performance, un facteur de production aussi important que les matières premières et des ressources humaines.
Les deux documents ont fait l’objet dans le processus d’élaboration d’un large partage d’une réflexion à l’édition, d’une surveillance particulière de la part de l’ensemble de nos collaborateurs, toutes les caractéristiques d’un outil servant la prise de décision », renseigne Amadou Diop.
Il affirme que l’information joue un rôle stratégique dans la vie des entreprises et des organisations dans une société où l’information colligée, la capacité à les sélectionner et à la traiter de manière adéquate et déterminante. « C’est cette capacité qui est une ressource rare. Ces produits contribueront à rendre possible la forme volonté d’enrôler 30% des sortants de cycles fondamentaux de la formation professionnelle et technique.
Ce noble vœu ne peut se réaliser si les acteurs concernés disposent de toute l’information nécessaire à leur orientation »,révèle le secrétaire général du ministère de tutelle.
L’objectif ici est de relever le défi de l’information le plus haut car une information n’est utile en soie et ne le devient que par la compréhension et l’exploitation. Ces deux documents vont ainsi constituer une boussole pour l’ensemble des acteurs et seront des instruments au service du rayonnement de la formation professionnelle et technique. « Ce travail montre toute la différence qu’il y’a entre de simples données brutes et une information contextualisée. En effet, à la différence de l’information, les données ont un caractère plus objectif et mesurable, mais lorsqu’elle sélectionnées et traitées se transforme en information », conclut-il.
Ndèye Rama Cissé (Liberation)