Abdoulaye Aw, porte-parole des insurgés et membre du Comité central du Parti socialiste (Ps), persiste et signe : «La gestion de Alioune Ndoye n'est pas transparente. C'est une gestion solitaire». Il estime que les arguments du maire Alioune Ndoye concernant les subventions aux Associations culturelles et sportives, les voyages à Fès, et la distribution des denrées alimentaires aux indigènes sont «infondés».
S'agissant des subventions octroyées aux Associations culturelles et sportives en 2009 et 2010, M. Aw souligne : «Alioune Ndoye a fait une faute de procédure dans les deux cas en virant l'intégralité de l'argent dans un seul compte bancaire, celui de l'Asc Sandial, pour le retirer en espèces, alors que chaque Asc a son compte dans lequel il devait virer la subvention. Ces numéros de comptes avaient été bel et bien déposés à la mairie».
Les frondeurs ne veulent pas d'une délégation spéciale
Poursuivant ses accusations, M. Aw révèle : «En 2009, Alioune Ndoye a retiré 12 millions, mais n'a donné que 5 millions aux Asc. Il a avoué devant les conseillers avoir distribué cet argent à d'autres bénéficiaires».
Pour ce qui est du sponsoring des cahiers, Abdoulaye Aw déclare : «Alioune Ndoye parle de contrepartie et d'engagement de la société en question qu'il évite de nommer».
En ce qui concerne les voyages au Maroc, le porte-parole des frondeurs assure que «le Conseil municipal n'a jamais parlé de pèlerinage à Fès et n'a jamais autorisé un voyage à Fès». Il souligne que le concept qui était retenu était «Pèlerinage aux Lieux saints».
Mais, Abdoulaye Aw tient à préciser qu'ils ne demandent pas une délégation spéciale qui, en l'état actuel des dispositions du Code des collectivités locales, «ne peut être envisagée, en vertu de l'article 173 du Code des collectivités locales». «Nous sommes dans une situation où l'organe exécutif, le maire, est au moins sous le coup des deux fautes prévues par les articles 146 et 141 dudit Code».
Moustapha BA (Stagiaire) le populaire
S'agissant des subventions octroyées aux Associations culturelles et sportives en 2009 et 2010, M. Aw souligne : «Alioune Ndoye a fait une faute de procédure dans les deux cas en virant l'intégralité de l'argent dans un seul compte bancaire, celui de l'Asc Sandial, pour le retirer en espèces, alors que chaque Asc a son compte dans lequel il devait virer la subvention. Ces numéros de comptes avaient été bel et bien déposés à la mairie».
Les frondeurs ne veulent pas d'une délégation spéciale
Poursuivant ses accusations, M. Aw révèle : «En 2009, Alioune Ndoye a retiré 12 millions, mais n'a donné que 5 millions aux Asc. Il a avoué devant les conseillers avoir distribué cet argent à d'autres bénéficiaires».
Pour ce qui est du sponsoring des cahiers, Abdoulaye Aw déclare : «Alioune Ndoye parle de contrepartie et d'engagement de la société en question qu'il évite de nommer».
En ce qui concerne les voyages au Maroc, le porte-parole des frondeurs assure que «le Conseil municipal n'a jamais parlé de pèlerinage à Fès et n'a jamais autorisé un voyage à Fès». Il souligne que le concept qui était retenu était «Pèlerinage aux Lieux saints».
Mais, Abdoulaye Aw tient à préciser qu'ils ne demandent pas une délégation spéciale qui, en l'état actuel des dispositions du Code des collectivités locales, «ne peut être envisagée, en vertu de l'article 173 du Code des collectivités locales». «Nous sommes dans une situation où l'organe exécutif, le maire, est au moins sous le coup des deux fautes prévues par les articles 146 et 141 dudit Code».
Moustapha BA (Stagiaire) le populaire