Vendeuse de vaisselles, Adja Rokhaya, est une première femme, qui a soufflé ses 20 bougies de mariage. Elle se souvient de sa nuit blanche. « Après dix années d’union, raconte la dame, mon mari qui rentrait chaque jour du travail avant 19h est arrivé ce jour en retard ».
« C’est finalement vers les coups de 22h qu’il a débarqué, la mine triste, l’air fatigué. Lorsque je lui ai servi le diner, il a à peine mangé. Inquiète, je lui ai demandé ce qui le tracassait. J’étais très loin d’imaginer qu’il venait de me faire un sale coup ». D’un ton mélancolique, Adja Rokhaya poursuit : « C’est au cours de la nuit qu’il m’a réveillé pour me l’annoncer avec beaucoup de tact comme une personne qui se sentait coupable. »
Comment a-t-elle réagit. La dame, la soixantaine, se souvient : « Je n’ai pas dormi cette nuit. Je me suis posée toutes sortes de questions jusqu’à même me culpabiliser juste pour savoir pourquoi mon homme est parti prendre une niarel ».
Si le chéri d’Adja a eu le courage de le lui dire en face, celui de B n’a pas osé franchir le Rubicon. Teint clair, la séduisante femme n’oubliera pas de sitôt sa soirée où il a reçu une délégation de quatre intimes de son mari qui venait de la mosquée. Femme d’affaire, la trentaine, taille élancée, cette niarel a la calamité de tomber sur un « marabout dictateur ».
Avec peine, elle dit : « A chaque fois qu’il en prend une nouvelle, il m’appelle avec ma aawo pour nous en faire part. L’audience est toujours brève. Et chacune retourne dans son coin ruminer sa colère ». Avec regret, elle révèle : « Quoi que l’on puisse dire, ce n’est jamais facile pour une femme de savoir que son mari a épousé une autre. Que l’on soit Aawo ou Niarel, ce n’est jamais facile, tout peut arriver. Les homme en savent quelques choses, sinon ils ne feraient pas de protocole pour annoncer la mauvaise nouvelle ».
« C’est finalement vers les coups de 22h qu’il a débarqué, la mine triste, l’air fatigué. Lorsque je lui ai servi le diner, il a à peine mangé. Inquiète, je lui ai demandé ce qui le tracassait. J’étais très loin d’imaginer qu’il venait de me faire un sale coup ». D’un ton mélancolique, Adja Rokhaya poursuit : « C’est au cours de la nuit qu’il m’a réveillé pour me l’annoncer avec beaucoup de tact comme une personne qui se sentait coupable. »
Comment a-t-elle réagit. La dame, la soixantaine, se souvient : « Je n’ai pas dormi cette nuit. Je me suis posée toutes sortes de questions jusqu’à même me culpabiliser juste pour savoir pourquoi mon homme est parti prendre une niarel ».
Si le chéri d’Adja a eu le courage de le lui dire en face, celui de B n’a pas osé franchir le Rubicon. Teint clair, la séduisante femme n’oubliera pas de sitôt sa soirée où il a reçu une délégation de quatre intimes de son mari qui venait de la mosquée. Femme d’affaire, la trentaine, taille élancée, cette niarel a la calamité de tomber sur un « marabout dictateur ».
Avec peine, elle dit : « A chaque fois qu’il en prend une nouvelle, il m’appelle avec ma aawo pour nous en faire part. L’audience est toujours brève. Et chacune retourne dans son coin ruminer sa colère ». Avec regret, elle révèle : « Quoi que l’on puisse dire, ce n’est jamais facile pour une femme de savoir que son mari a épousé une autre. Que l’on soit Aawo ou Niarel, ce n’est jamais facile, tout peut arriver. Les homme en savent quelques choses, sinon ils ne feraient pas de protocole pour annoncer la mauvaise nouvelle ».