Assane Diouf a une nouvelle fois fait face au Doyen des juges d’instruction. L’insulteur du net a été entendu sur le réquisitoire supplétif introduit par le parquet. Selon «Les Echos», les faits concernent le délit d’outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions.
Son avocat, Me El Hadji Diouf qui était à ses côtés, a dénoncé cette nouvelle procédure que le maitre des poursuites voudrait que le juge d’instruction ajoute aux charges retenues contre lui. « Dans le procès-verbal d’enquête, il n’y a pas de trace d’un quelconque différend avec un agent de la force publique. Si cela continue, les charges ne finiront jamais et l’on ne peut pas juger une personne que pour les charges déjà retenues », fustige l’avocat.
Le journal renseigne que l’audition a duré 15 minutes. Et, Assane Douf a royalement ignoré les accusations et chargé les autorités qui l’avaient accusé d’être un terroriste. « Je n’ai pas le temps de répondre à ces gens, parce que ce sont les mêmes accusations qu’ils avaient portées sur ma personne », sert-il au juge. « Ils m’ont rapatrié des Usa où je travaillais depuis 17 ans pour subvenir aux besoins de ma famille, en disant aux autorités américaines que je suis terroriste. Depuis que je suis ici, personne ne peut prouver que j'en suis un, car si c’était le cas, j’aurais dû être jugé au même titre que l’Imam Ndao et Cie en ce moment ».
Pour rappel, Assane Diouf a été inculpé en novembre dernier pour les chefs d’accusation portant sur trouble à l’ordre public, injures par le biais d’un système informatique, outrage à un ministère du culte et diffamation. Des faits relatifs à une sortie au vitriol contre le porte-parole du Khalife des mourides, Serigne Bass Abdou Khadre Mbacké.
Son avocat, Me El Hadji Diouf qui était à ses côtés, a dénoncé cette nouvelle procédure que le maitre des poursuites voudrait que le juge d’instruction ajoute aux charges retenues contre lui. « Dans le procès-verbal d’enquête, il n’y a pas de trace d’un quelconque différend avec un agent de la force publique. Si cela continue, les charges ne finiront jamais et l’on ne peut pas juger une personne que pour les charges déjà retenues », fustige l’avocat.
Le journal renseigne que l’audition a duré 15 minutes. Et, Assane Douf a royalement ignoré les accusations et chargé les autorités qui l’avaient accusé d’être un terroriste. « Je n’ai pas le temps de répondre à ces gens, parce que ce sont les mêmes accusations qu’ils avaient portées sur ma personne », sert-il au juge. « Ils m’ont rapatrié des Usa où je travaillais depuis 17 ans pour subvenir aux besoins de ma famille, en disant aux autorités américaines que je suis terroriste. Depuis que je suis ici, personne ne peut prouver que j'en suis un, car si c’était le cas, j’aurais dû être jugé au même titre que l’Imam Ndao et Cie en ce moment ».
Pour rappel, Assane Diouf a été inculpé en novembre dernier pour les chefs d’accusation portant sur trouble à l’ordre public, injures par le biais d’un système informatique, outrage à un ministère du culte et diffamation. Des faits relatifs à une sortie au vitriol contre le porte-parole du Khalife des mourides, Serigne Bass Abdou Khadre Mbacké.