Le Sénégal est traversé depuis un certain temps, par trop de scandales de diverses natures. Des personnalités publiques ou des affairistes et autres, ayant une grande responsabilité dans la diligence des affaires économiques ou de la République, s’attirent les foudres de la justice. Imbues d’une envie folle de s’enrichir, ces personnes s’impliquent régulièrement, dans de sombres affaires.
Une fois, leurs magouilles découvertes, ces acteurs, souvent membres du parti ou de coalitions de partis alliés au pouvoir, cherchent à avoir le soutien du Président Sall pour se tirer d’affaire. Mais, le Chef de l’Exécutif, conscient des enjeux degradant de l’image du pays, décourage de tels comportements et se montre ferme dans sa volonté de faire régner l’ordre et la bonne gestion.
Seulement, il faut reconnaître que l'immixtion du pouvoir éxécutif dans le judiciaire n’est pas une réalité au Sénégal. Les fautifs sont sanctionnés à la dimension de la faute commise. Et, face à des dossiers judiciaires, Macky Sall se barricade dans sa posture et refuse toute implication. Il se radicalise...Résultat des courses, il n’hésite plus à instruire la justice pour des poursuites contre certains de ses « amis », cités dans des scandales.
L’affaire des passeports diplômatiques qui met à nu l'implication, présumée de députés, en atteste. El Hadji Mamadou Sall, député membre de l'Alliance pour la République (APR), parti présidentiel, a été convoqué hier mardi, par un juge d'instruction du Tribunal de Grande Instance de Dakar.
Ledit député, ayant recu la notification de son inculpation pour association de malfaiteurs, escroquerie, blanchiment de capitaux, faux et usage de faux, suivi d’un mandat de dépôt, prouve à suffisance que Macky Sall se démarque et contribue à l’éclatement de la vérité.
Sadio Dansokho, président du Conseil départemental de Saraya, écroué et placé sous sous mandat de dépôt dans cette même affaire des passeports diplômatiques, confirme la posture de Macky Sall. Le dossier de ce député est confié au juge du 8e cabinet. Ce qui veut dire que député Mamadou Sall, dont son dossier est entre les mains du juge, n'est pas la seule personne écrouée hier. Et le député Boubacar Biaye est toujours dans l'attente de sa convocation. Idem, le nouveau dossier, relatif aussi à un trafic de passeports diplomatiques entre la Présidence et les Affaires étrangères, a été confié au juge du 8e cabinet.
Même dans l’affaire liée à l’arrestation de l’usurpateur de la fonction de médecin, Macky Sall n’a opposé aucun veto, ni pris également la défense de Boughazeli. Ce qui veut tout simplement dire qu’il ne défend personne. Et chacun doit assumer ses actes, conformément à son niveau d’implication. Ni plus, ni moins...
Malheureusement, constate-t-on, ces personnalités publiques qui s’impliquent dans des activités d'arnaques, d'abus de confiance et autres escroqueries, de détournements de deniers publics et d’objectifs de projets étatiques, contribuent à l’effritement de la situation économico-sociale du pays. Rien n’est ou ne serait de trop pour ces escrocs des temps modernes, pour se tailler une place au Zénith de la vie mondaine.
Une fois le coup réussi, ils s’adonnent le plus normalement du monde à des parties de plaisir, des voyages de loisirs, des « hawarés » de nantis. Loin d’avoir la plus petite pensée pour la précarité et l’extrême pauvreté des populations, ils goûtent aux délices de la belle vie et se moquent de ces dernières.
leral.net
Une fois, leurs magouilles découvertes, ces acteurs, souvent membres du parti ou de coalitions de partis alliés au pouvoir, cherchent à avoir le soutien du Président Sall pour se tirer d’affaire. Mais, le Chef de l’Exécutif, conscient des enjeux degradant de l’image du pays, décourage de tels comportements et se montre ferme dans sa volonté de faire régner l’ordre et la bonne gestion.
Seulement, il faut reconnaître que l'immixtion du pouvoir éxécutif dans le judiciaire n’est pas une réalité au Sénégal. Les fautifs sont sanctionnés à la dimension de la faute commise. Et, face à des dossiers judiciaires, Macky Sall se barricade dans sa posture et refuse toute implication. Il se radicalise...Résultat des courses, il n’hésite plus à instruire la justice pour des poursuites contre certains de ses « amis », cités dans des scandales.
L’affaire des passeports diplômatiques qui met à nu l'implication, présumée de députés, en atteste. El Hadji Mamadou Sall, député membre de l'Alliance pour la République (APR), parti présidentiel, a été convoqué hier mardi, par un juge d'instruction du Tribunal de Grande Instance de Dakar.
Ledit député, ayant recu la notification de son inculpation pour association de malfaiteurs, escroquerie, blanchiment de capitaux, faux et usage de faux, suivi d’un mandat de dépôt, prouve à suffisance que Macky Sall se démarque et contribue à l’éclatement de la vérité.
Sadio Dansokho, président du Conseil départemental de Saraya, écroué et placé sous sous mandat de dépôt dans cette même affaire des passeports diplômatiques, confirme la posture de Macky Sall. Le dossier de ce député est confié au juge du 8e cabinet. Ce qui veut dire que député Mamadou Sall, dont son dossier est entre les mains du juge, n'est pas la seule personne écrouée hier. Et le député Boubacar Biaye est toujours dans l'attente de sa convocation. Idem, le nouveau dossier, relatif aussi à un trafic de passeports diplomatiques entre la Présidence et les Affaires étrangères, a été confié au juge du 8e cabinet.
Même dans l’affaire liée à l’arrestation de l’usurpateur de la fonction de médecin, Macky Sall n’a opposé aucun veto, ni pris également la défense de Boughazeli. Ce qui veut tout simplement dire qu’il ne défend personne. Et chacun doit assumer ses actes, conformément à son niveau d’implication. Ni plus, ni moins...
Malheureusement, constate-t-on, ces personnalités publiques qui s’impliquent dans des activités d'arnaques, d'abus de confiance et autres escroqueries, de détournements de deniers publics et d’objectifs de projets étatiques, contribuent à l’effritement de la situation économico-sociale du pays. Rien n’est ou ne serait de trop pour ces escrocs des temps modernes, pour se tailler une place au Zénith de la vie mondaine.
Une fois le coup réussi, ils s’adonnent le plus normalement du monde à des parties de plaisir, des voyages de loisirs, des « hawarés » de nantis. Loin d’avoir la plus petite pensée pour la précarité et l’extrême pauvreté des populations, ils goûtent aux délices de la belle vie et se moquent de ces dernières.
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