L’obtention du visa est devenue un parcours du combattant. En effet, le décret du 6 septembre 2011 oblige tous les étudiants étrangers à justifier de 615 à 770 euros de ressources financières mensuelles. Auparavant la somme était de 450 euros, il est à noter que la bourse universitaire sénégalaise est de 297 euros mensuelle. En outre pour renouveler leur titre de séjour, les étudiants sont contraints de fournir plusieurs documents difficiles à obtenir.
D’une part, il est nécessaire d’avoir un garant apte à justifier un salaire mensuel équivalent au triple des ressources financières de 770 euros exigé, soit la somme de 2100 euros. L’étude de dossier pour le titre temporaire de séjour est d’ailleurs de 30 euros. De plus, depuis cette année ce titre de séjour est à puce, il revient à l’étudiant de payer 19 euros supplémentaires pour récupérer la carte.
D’autre part, les demandeurs ont besoin d’acquérir un contrat de travail étudiant tout en sachant que le gouvernement français n’autorise pas les étudiants à travailler plus de 21h par semaine, soit environ 450€ de salaire mensuel. Enfin, s'ajoute à cela le délai de traitement des dossiers de la préfecture qui se répercute sur les dossiers de la Caisse Allocation Familiale (CAF) et de la Couverture Maladie Universelle (CMU).
Ces modifications imposées par la préfecture touche de plein fouet les sénégalais, accroit leurs ennuis rencontrés mais aussi et surtout l’obtention du diplôme et la réussite scolaire. Parallèlement en date du 31 mai 2011, une circulaire adressée à tous les préfets durcit la législation générale de l’immigration française. Cette dernière prive de nombreux étudiants étrangers à rester en France à l’issue de leurs études. De ce fait, les étudiants n’ayant pas trouvé de travail dans les six mois après l’obtention de leur diplôme se voit refusés la délivrance de leur titre de séjour. La circulaire ôte donc le droit des étudiants à bénéficier d’une première expérience professionnelle en France. Ainsi, de nombreux étudiants étrangers mais aussi et surtout sénégalais se retrouvent sans papier sur le territoire français. Par conséquent, leur quotidien se retrouve bouleversé notamment à propos du logement qui nécessite des papiers en règles.
Enfin, il est question de sensibiliser les futurs étudiants sénégalais désirant venir étudier en France. Chaque année, il est très difficile de trouver des attestations d’hébergement obligatoire à fournir pour toute demande d’inscription. L’AESMM milite à chaque rentrée scolaire pour trouver des attestations et notamment des chambres universitaires. A savoir que l’organisme français habilité à notifier des attestations à des quotas et ne peut délivrer que très peu d’attestation. Actuellement des gens peu scrupuleux au Sénégal, profite de cette situation en vendant à ces élèves et étudiants des attestations d’hébergements entre 300.000 Fr Cfa et 600.000 Fr Cfa… Actuellement les textes en vigueurs concernant les étudiants étrangers ont évoluées au fil des années, ainsi il s’impose une veille documentaire active pour être mieux instruits et rester aux parfums des accords entre la France et le Sénégal.
Une Union des Etudiants Etrangers de Metz (UEEM) a été mise en place une pour se battre et défendre la situation des étudiants étrangers il y a peu. Cependant, nous avons besoin de l’appui du gouvernement, il nous ait vitale d’avoir le soutien de nos dirigeants. Il est très important que les réactions conduisent à des actions concrètes afin de défendre les intérêts de ces étudiants à l’étranger, d’améliorer leurs conditions de vie et de garantir leur avenir.
D’une part, il est nécessaire d’avoir un garant apte à justifier un salaire mensuel équivalent au triple des ressources financières de 770 euros exigé, soit la somme de 2100 euros. L’étude de dossier pour le titre temporaire de séjour est d’ailleurs de 30 euros. De plus, depuis cette année ce titre de séjour est à puce, il revient à l’étudiant de payer 19 euros supplémentaires pour récupérer la carte.
D’autre part, les demandeurs ont besoin d’acquérir un contrat de travail étudiant tout en sachant que le gouvernement français n’autorise pas les étudiants à travailler plus de 21h par semaine, soit environ 450€ de salaire mensuel. Enfin, s'ajoute à cela le délai de traitement des dossiers de la préfecture qui se répercute sur les dossiers de la Caisse Allocation Familiale (CAF) et de la Couverture Maladie Universelle (CMU).
Ces modifications imposées par la préfecture touche de plein fouet les sénégalais, accroit leurs ennuis rencontrés mais aussi et surtout l’obtention du diplôme et la réussite scolaire. Parallèlement en date du 31 mai 2011, une circulaire adressée à tous les préfets durcit la législation générale de l’immigration française. Cette dernière prive de nombreux étudiants étrangers à rester en France à l’issue de leurs études. De ce fait, les étudiants n’ayant pas trouvé de travail dans les six mois après l’obtention de leur diplôme se voit refusés la délivrance de leur titre de séjour. La circulaire ôte donc le droit des étudiants à bénéficier d’une première expérience professionnelle en France. Ainsi, de nombreux étudiants étrangers mais aussi et surtout sénégalais se retrouvent sans papier sur le territoire français. Par conséquent, leur quotidien se retrouve bouleversé notamment à propos du logement qui nécessite des papiers en règles.
Enfin, il est question de sensibiliser les futurs étudiants sénégalais désirant venir étudier en France. Chaque année, il est très difficile de trouver des attestations d’hébergement obligatoire à fournir pour toute demande d’inscription. L’AESMM milite à chaque rentrée scolaire pour trouver des attestations et notamment des chambres universitaires. A savoir que l’organisme français habilité à notifier des attestations à des quotas et ne peut délivrer que très peu d’attestation. Actuellement des gens peu scrupuleux au Sénégal, profite de cette situation en vendant à ces élèves et étudiants des attestations d’hébergements entre 300.000 Fr Cfa et 600.000 Fr Cfa… Actuellement les textes en vigueurs concernant les étudiants étrangers ont évoluées au fil des années, ainsi il s’impose une veille documentaire active pour être mieux instruits et rester aux parfums des accords entre la France et le Sénégal.
Une Union des Etudiants Etrangers de Metz (UEEM) a été mise en place une pour se battre et défendre la situation des étudiants étrangers il y a peu. Cependant, nous avons besoin de l’appui du gouvernement, il nous ait vitale d’avoir le soutien de nos dirigeants. Il est très important que les réactions conduisent à des actions concrètes afin de défendre les intérêts de ces étudiants à l’étranger, d’améliorer leurs conditions de vie et de garantir leur avenir.