Le secteur qui semble être le plus touché par ces nouveaux modes de communication reste la presse d’une manière générale, et celle écrite, en particulier. Jadis, la plupart des journaux tiraient leurs ressources financières par le biais des ventes et de la publicité.
Cependant, le constat est alarmant, la désaffection d’une partie des lecteurs, notamment des plus jeunes et la migration de la publicité et des petites annonces vers Internet constituent, aujourd’hui de grands obstacles qui plombent la presse écrite. D’où l’importance de s’interroger sur le modèle économique à adopter par les journaux papiers pour espérer survivre face à l’hégémonie de l’internet. A l’heure actuelle, avec l’apparition et l’évolution effrénée de nouvelles plateformes d’informations, les patrons des organes de presse ont intérêt à développer de nouvelles stratégies pour aboutir à nouveau mode de financement pour la presse.
Pour ce faire, il apparaît fondamental d’étendre les contenus des journaux (informations, publicités…) vers les tribunes numériques comme les portails web et leurs réseaux sociaux annexes. A cet effet, au-delà de l’édition papier vendue à 100 ou 200 F Cfa, l’organe de presse pourra également mettre cette même publication en ligne grâce aux « kiosques numériques » qui sont en train d’être développés dans notre pays. Ainsi la diffusion dématérialisée de la version « papier » semble désormais incontournable, via les terminaux comme les tablettes tactiles, les Smartphones…
Ce nouvel élan doit également être appliqué à la publicité, pour que celle-ci devienne plus rentable au profit des médias. Il est donc nécessaire de repenser les modes de véhicule des spots publicitaires en incluant les nouveaux supports qu’offrent les Tic. Par exemple, le service commercial et du marketing d’un journal peut proposer deux offres à un annonceur qui souhaite faire passer son produit. En d’autres termes, une même publicité peut être passée aussi bien dans le journal que sur le portail web dudit journal. Ce qui permet à l’éditeur de gagner doublement en termes de profits, de même que l’annonceur qui verra son produit porté deux fois à la connaissance des potentiels consommateurs.
M. Jao, Journaliste
Cependant, le constat est alarmant, la désaffection d’une partie des lecteurs, notamment des plus jeunes et la migration de la publicité et des petites annonces vers Internet constituent, aujourd’hui de grands obstacles qui plombent la presse écrite. D’où l’importance de s’interroger sur le modèle économique à adopter par les journaux papiers pour espérer survivre face à l’hégémonie de l’internet. A l’heure actuelle, avec l’apparition et l’évolution effrénée de nouvelles plateformes d’informations, les patrons des organes de presse ont intérêt à développer de nouvelles stratégies pour aboutir à nouveau mode de financement pour la presse.
Pour ce faire, il apparaît fondamental d’étendre les contenus des journaux (informations, publicités…) vers les tribunes numériques comme les portails web et leurs réseaux sociaux annexes. A cet effet, au-delà de l’édition papier vendue à 100 ou 200 F Cfa, l’organe de presse pourra également mettre cette même publication en ligne grâce aux « kiosques numériques » qui sont en train d’être développés dans notre pays. Ainsi la diffusion dématérialisée de la version « papier » semble désormais incontournable, via les terminaux comme les tablettes tactiles, les Smartphones…
Ce nouvel élan doit également être appliqué à la publicité, pour que celle-ci devienne plus rentable au profit des médias. Il est donc nécessaire de repenser les modes de véhicule des spots publicitaires en incluant les nouveaux supports qu’offrent les Tic. Par exemple, le service commercial et du marketing d’un journal peut proposer deux offres à un annonceur qui souhaite faire passer son produit. En d’autres termes, une même publicité peut être passée aussi bien dans le journal que sur le portail web dudit journal. Ce qui permet à l’éditeur de gagner doublement en termes de profits, de même que l’annonceur qui verra son produit porté deux fois à la connaissance des potentiels consommateurs.
M. Jao, Journaliste