Au moment où le camp de Oumar Sarr négociait avec Rewmi, Bokk gis gis, Ucs, Aj et Fsd/Bj pour former un groupe parlementaire fort, Modou Diagne Fada et ses hommes penchaient, eux aussi, sur leur stratégie. Le Quotidien renseigne que les réformateurs se sont insurgés contre le Comité directeur qui, le jour de sa réunion, a dit avoir sollicité de Wade la défenestration du président du groupe parlementaire du Pds. Pourtant, confie-t-on, le même jour, à 13h, « le Secrétaire général du parti a appelé Fada pour lui indiquer qu’il a décidé de le faire remplacer par Aïda Mbodj parce qu’il n’avait pas suffisamment mouillé le maillot dans le combat pour la libération de son fils et pour avoir réclamé un plan B à sa candidature à la Présidentielle ». Les frondeurs ont également dénoncé la « Communication à outrance » sur le départ revendiqué du président du groupe des Libéraux et démocrates. Ils estiment que le renouvellement du groupe est « une affaire des députés » et que, « par respect » à ces derniers, « Wade devait rester à l’écart ».
Par ailleurs, Fada et son groupe considèrent que Idrissa Seck, Pape Diop, Baldé et autres ont « choisi leur camp » en s’alliant avec l’autre partie du Pds, rappelant qu’ils se sont « immiscés dans une bataille interne au Pds ». Toutefois, les réformateurs ne comptent pas baisser les bras et leur donnent rendez-vous demain.
Par ailleurs, Fada et son groupe considèrent que Idrissa Seck, Pape Diop, Baldé et autres ont « choisi leur camp » en s’alliant avec l’autre partie du Pds, rappelant qu’ils se sont « immiscés dans une bataille interne au Pds ». Toutefois, les réformateurs ne comptent pas baisser les bras et leur donnent rendez-vous demain.