Les Forces armées du Sénégal ont pour mission d'assurer la défense nationale et dans ce but, d'assurer en tous temps, en toutes circonstances et contre toutes les formes d’agression, la sécurité et l’intégrité du territoire du Sénégal et de sa population.
Elle contribue de même au respect des alliances, traités et accords internationaux. La mise en œuvre de la politique de la défense est arrêtée par le président de la République, qui est responsable de la défense nationale, dont il exerce la direction générale et militaire.
C'est fort de cela que le premier bateau patrouilleur du Sénégal qui s'appelle "Le Njambuur" (P 773) est un patrouilleur hauturier PR 72 construit par les chantiers navals SFCN de Villeneuve-la-Garenne. Il est réceptionné par la Marine sénégalaise en 1983. Il devient le bâtiment amiral de la flotte sénégalaise jusqu'en 2016. Son nom provient d'une zone géographique située dans la région de Louga, au nord-ouest du Sénégal, le Ndiambour.
"Le Fouladou" est un patrouilleur hauturier construit par le chantier naval français OCEA, pour la Marine nationale sénégalaise dont il est le navire amiral. Elle a réceptionné le navire, d'un gabarit de cinq cents tonnes, en octobre 2016, pour assurer des missions de souveraineté dans sa zone économique exclusive. Il est baptisé d'après la région historique du Fouladou située dans le Sud du pays
"Le Fouta" est un patrouilleur hauturier de type OSPREY 55 vendu par Danyard A/S Frederikshavn et construit au Danemark, pour la marine sénégalaise. Elle a réceptionné le navire le 1er juin 1987 pour assurer des missions de souveraineté dans sa zone économique exclusive. Son nom provient d'un ancien royaume du nord-est du Sénégal bordant la rive gauche du fleuve Sénégal, le Fouta-Toro.
"Le Kédougou" est un patrouilleur hauturier OPV 45 vendu par Raidco Marine et construit par STX France de Lanester pour la Marine nationale sénégalaise. Elle a réceptionné le navire au mois d'avril 2015, pour assurer des missions de souveraineté dans sa zone économique exclusive. Son nom provient d'une région administrative du sud-est du Sénégal.
Elle contribue de même au respect des alliances, traités et accords internationaux. La mise en œuvre de la politique de la défense est arrêtée par le président de la République, qui est responsable de la défense nationale, dont il exerce la direction générale et militaire.
C'est fort de cela que le premier bateau patrouilleur du Sénégal qui s'appelle "Le Njambuur" (P 773) est un patrouilleur hauturier PR 72 construit par les chantiers navals SFCN de Villeneuve-la-Garenne. Il est réceptionné par la Marine sénégalaise en 1983. Il devient le bâtiment amiral de la flotte sénégalaise jusqu'en 2016. Son nom provient d'une zone géographique située dans la région de Louga, au nord-ouest du Sénégal, le Ndiambour.
"Le Fouladou" est un patrouilleur hauturier construit par le chantier naval français OCEA, pour la Marine nationale sénégalaise dont il est le navire amiral. Elle a réceptionné le navire, d'un gabarit de cinq cents tonnes, en octobre 2016, pour assurer des missions de souveraineté dans sa zone économique exclusive. Il est baptisé d'après la région historique du Fouladou située dans le Sud du pays
"Le Fouta" est un patrouilleur hauturier de type OSPREY 55 vendu par Danyard A/S Frederikshavn et construit au Danemark, pour la marine sénégalaise. Elle a réceptionné le navire le 1er juin 1987 pour assurer des missions de souveraineté dans sa zone économique exclusive. Son nom provient d'un ancien royaume du nord-est du Sénégal bordant la rive gauche du fleuve Sénégal, le Fouta-Toro.
"Le Kédougou" est un patrouilleur hauturier OPV 45 vendu par Raidco Marine et construit par STX France de Lanester pour la Marine nationale sénégalaise. Elle a réceptionné le navire au mois d'avril 2015, pour assurer des missions de souveraineté dans sa zone économique exclusive. Son nom provient d'une région administrative du sud-est du Sénégal.
https://www.piriou.com/piriou-lance-la-construction-du-premier-des-trois-patrouilleurs-hauturiers-commandes-par-le-senegal/
https://www.piriou.com/le-senegal-signe-avec-piriou-lacquisition-de-3-opv-62m/
https://www.meretmarine.com/fr/content/piriou-debute-la-construction-du-premier-des-trois-opv-commandes-par-le-senegal
https://www.meretmarine.com/fr/content/ufast-met-leau-un-patrouilleur-pour-le-senegal
https://www.meretmarine.com/fr/content/ufast-livre-un-nouveau-patrouilleur-au-senegal
https://www.meretmarine.com/fr/content/bord-du-patrouilleur-senegalais-fouladou
https://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_arm%C3%A9es_du_S%C3%A9n%C3%A9gal
https://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9dougou_(patrouilleur)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fouta_(patrouilleur)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Njambuur
https://www.piriou.com/le-senegal-signe-avec-piriou-lacquisition-de-3-opv-62m/
https://www.meretmarine.com/fr/content/piriou-debute-la-construction-du-premier-des-trois-opv-commandes-par-le-senegal
https://www.meretmarine.com/fr/content/ufast-met-leau-un-patrouilleur-pour-le-senegal
https://www.meretmarine.com/fr/content/ufast-livre-un-nouveau-patrouilleur-au-senegal
https://www.meretmarine.com/fr/content/bord-du-patrouilleur-senegalais-fouladou
https://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_arm%C3%A9es_du_S%C3%A9n%C3%A9gal
https://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9dougou_(patrouilleur)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fouta_(patrouilleur)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Njambuur
Un bâtiment économique grâce à l’aluminium L’emploi de l’aluminium offre de nombreux avantages. D’abord, en termes de coûts d’exploitation puisque le bateau, moins lourd que l’acier, va nécessiter pour les mêmes performances une puissance inférieure et, mécaniquement, consomme moins de carburant : « Pour un profil de mission standard, tel que souhaité par exemple par la marine sénégalaise, par rapport à un bâtiment en acier de même taille, qui va à la même vitesse et est conçu pour des missions équivalentes, nous avons calculé qu’en 20 ans, un OPV en aluminium comme le Fatick permettait d’économiser 5 millions de litres de gasoil et de réduire les émissions de CO2 de 14.000 tonnes, soit 37% de moins. Les gains sur les frais de combustible sont donc très nets. Mais c’est aussi une manière, pour les pays qui optent pour l’aluminium, de disposer de bâtiments plus respectueux de l’environnement à l’heure où la communauté internationale se mobilise pour lutter contre le réchauffement climatique et que la COP21 a fixé des objectifs ambitieux. De ce point de vue, les atouts vont au-delà de la simple économie de carburant. Un navire en aluminium consomme par exemple beaucoup moins d’huile, n’a pas besoin d’être repeint régulièrement car sa coque ne s’oxyde pas et, s’il faut beaucoup d’énergie pour produire de l’aluminium, son recyclage est bien meilleur, ne nécessite que 5% de l’énergie de sa production et peut être mené une dizaine de fois, contre seulement trois pour l’acier ».