
De la chance, il en faut à Farba Senghor pour échapper à la « guillotine » de la Justice. De sources dignes de foi, les rapports de Police, aux mains du Procureur et du Président de la République sont si accablants que Farba Senghor éprouve aujourd’hui de bien sérieuses craintes, même s’il tente de camoufler ses états d’âme. « C’est vrai, il a quelques craintes liées au fait qu’il n’a pas simplement pas affaire à la presse, mais à des encagoulés », révèle une source très proche de lui.
Il faut dire que les éléments d’enquête non encore rendus publics, (mais qui pourraient l’être si on tente de l’exfiltrer des mailles de la Justice) sont si compromettants que même le Président Wade a tiqué lorsqu’il en a pris connaissance. Les numéros de téléphone répertoriés par les enquêteurs entre les assaillants des sièges de L’As et de « 24 heures chrono » mènent en effet tout droit chez le chargé de la Mobilisation et de la Propagande du Pds. Ceci explique-t-il les félicitations appuyées du Procureur de la République lors de sa conférence ? Sans doute.
Mais ce sont les différents rapports que la Police a fait parvenir au président Wade par des canaux officieux qui ont motivé la décision du Président Wade de se désolidariser (provisoirement ?) de son homme de confiance. En effet, l’on a fait comprendre au Président Wade que sa cote de popularité, déjà mise à rude épreuve pourrait s’efriter davantage s’il persistait à vouloir coûte que coûte protéger Farba Senghor. C’est pourquoi, selon nos sources, le Porte-parole du Président ne prend pas de gants dans cette affaire, invitant Farba Senghor à répondre à la convocation de la Police.
En tout état de cause, l’étau se resserre autour de l’ancien ministre des transports terrestres. Une situation aggravée par le sentiment d’apathie que le gouvernement éprouve à l’endroit de l’ancien ministre des Transports terrestres , qui se prend souvent pour le chef du gouvernement, relèvent ses détracteurs . Bien loin de ses problèmes avec la presse, Farba Senghor a réveillé bien d’autres démons.
Il faut dire que les éléments d’enquête non encore rendus publics, (mais qui pourraient l’être si on tente de l’exfiltrer des mailles de la Justice) sont si compromettants que même le Président Wade a tiqué lorsqu’il en a pris connaissance. Les numéros de téléphone répertoriés par les enquêteurs entre les assaillants des sièges de L’As et de « 24 heures chrono » mènent en effet tout droit chez le chargé de la Mobilisation et de la Propagande du Pds. Ceci explique-t-il les félicitations appuyées du Procureur de la République lors de sa conférence ? Sans doute.
Mais ce sont les différents rapports que la Police a fait parvenir au président Wade par des canaux officieux qui ont motivé la décision du Président Wade de se désolidariser (provisoirement ?) de son homme de confiance. En effet, l’on a fait comprendre au Président Wade que sa cote de popularité, déjà mise à rude épreuve pourrait s’efriter davantage s’il persistait à vouloir coûte que coûte protéger Farba Senghor. C’est pourquoi, selon nos sources, le Porte-parole du Président ne prend pas de gants dans cette affaire, invitant Farba Senghor à répondre à la convocation de la Police.
En tout état de cause, l’étau se resserre autour de l’ancien ministre des transports terrestres. Une situation aggravée par le sentiment d’apathie que le gouvernement éprouve à l’endroit de l’ancien ministre des Transports terrestres , qui se prend souvent pour le chef du gouvernement, relèvent ses détracteurs . Bien loin de ses problèmes avec la presse, Farba Senghor a réveillé bien d’autres démons.