
Prenant la parole, l’ancien ministre et chargé de la propagande du Pds, selon les sources du journal, s’est glorifié en criant à qui voulait l’entendre que la défaite du 25 mars 2012 n’a été que la conséquence de son départ du gouvernement. "Je suis le rempart du parti", a-t-il affirmé. Des propos qui ont naturellement arraché le sourire à certains responsables peu tendre avec lui. "Nous sommes habitués à ses bévues", ironise-t-on entre quelques leaders en aparté.