Estimant que cette menace ne l’empêche pas de dormir, la jeune libérale reste sur la défensive en cognant sur Aïda Mbodj. « Les frondeurs que l’on a tenté de diaboliser n’égalent en rien Aïda Mbodj qui défendait le Parti socialiste au moment où nous nous battions pour porter Me Wade au pouvoir », a déclaré Fatou Thiam dans La Tribune. Elle qui compte poursuivre son combat à l’intérieur de la famille libérale. « Nous ne quitterons pas d’un mètre la maison de notre père », insiste-t-elle révélant que c’est à travers la presse que son groupe a appris son exclusion. Une chose impossible d'après elle parce que cette commission de discipline n’existe pas dans les textes du Pds.
Revenant sur le dossier de l’Assemblée nationale, qui a porté Modou Diagne Fada à la tête du groupe parlementaire des « Libéraux et Démocrates », elle note : « Ce que le camp de Macky Sall ne conteste pas et que les autres rejettent, c’est la loi qui a été bien dite à l’Assemblée nationale et contre laquelle Aïda Mbodj et Cie appellent à manifester après avoir tenté, en vain, un forcing ». Et la député libérale de s'interroger : « Comment Aïda Mbodj et Oumar Sarr, qui ont été élus par les populations pour faire respecter les lois de ce pays, peuvent-ils se retourner pour appeler à leur violation ? ».
Revenant sur le dossier de l’Assemblée nationale, qui a porté Modou Diagne Fada à la tête du groupe parlementaire des « Libéraux et Démocrates », elle note : « Ce que le camp de Macky Sall ne conteste pas et que les autres rejettent, c’est la loi qui a été bien dite à l’Assemblée nationale et contre laquelle Aïda Mbodj et Cie appellent à manifester après avoir tenté, en vain, un forcing ». Et la député libérale de s'interroger : « Comment Aïda Mbodj et Oumar Sarr, qui ont été élus par les populations pour faire respecter les lois de ce pays, peuvent-ils se retourner pour appeler à leur violation ? ».