La vengeance est un plat qui se mange froid ! Voilà ce que le nommé Abou Faye a certainement compris en préférant guetter le moment opportun pur solder, enfin ses comptes avec sa dulcinée Seynabou Diouf, une commerçante. Celle-ci a largué sur demande de ses parents, son bout de chou qui a du mal à digérer la rupture.
Voilà des années que le sieur Abou Faye sort en amoureux avec Seynabou Diouf. Ils habitent le même quartier, à Pikine Guinaw rails. Les choses marchent comme sur des roulettes dans cette idylle. Le jeune garçon subvient tant bien que mal aux besoins de la fille. Laquelle rend cela à son prince charmant par un amour profond et sincère.
Cependant tout à tourné en eau de boudin lorsque les parents de la demoiselle découvrent que leur futur gendre est d’une famille castrée, un griot. Ils en font la remarque à leur fille et lui demandent de rompre immédiatement avec celui-ci. Mais, de peur de vexer son amant, la petite refuse de s’exécuter et continuer de fréquenter en cachette le bonhomme. Sa famille découvre néanmoins cela et lui profère des menaces.
Se sentant acculée Seynabou décide de rompre les amarres avec son prince charmant. Mais, quand elle en a parlé au jeune garçon, celui-ci entre dans une colère noire et traite de tous les noms d’oiseaux la fille. Il la persécute et la tabasse chaque fois qu’il la rencontre sans la rue.
N’en pouvant plus la demoiselle en informe ses parents qui avisent la famille du jeune garçon. Mais, cela a décuplé le courroux de Faye qui, se considérant comme un citron pressé puis jeté, décide de se venger. Il débarque alors au lieu de commerce de la demoiselle et lui demande de le suivre. Mais, cette dernière se montre réticente et finit par accepter. « Quand j’ai accepté de le suivre, il m’a conduit dans un endroit ou il m’a tabassée en me donnant des coups de poings, devant des gens. Il a fallu l’intervention d’un vieillard qui passait pour qu’il daigne me lâcher. Il a même roulé de coups de poing mon sauveur de Viel homme », déclare la commerçante qui indique avoir eu des blessures et autres hématomes sur plusieurs parties du corps. Elle a déposé une plainte avec constitution de partie civile assortie d’un certificat médical de 10 jours d’incapacité temporaire de travail contre son « bourreau » d’ancien petit ami.
Le mis en cause a reconnu sur toute la ligne les faits, mais il nie cependant avoir malmené la fille au point de lui causer de graves blessures sur le corps. « Je connais assez bien Seynabou pour avoir vécu avec elle durant des années. C’est vous dire que le motif de notre séparation n’est venue ni d’elle ni de moi. C’est plutôt les parents de celle-ci qui en sont à l’origine. Ils ont manigancé tout cela pour m’éloigner de leur fille. Ceci, en vue de me mettre en prison. Car, pour eux, notre relation est anormale du fait que je sois un griot. Ils ont profité de cette bastonnade pour demander à leur fille de sortir avec un autre garçon du quartier. Ce que je ne pouvais concevoir », soutient Abou.
Faye a été déférée au parquet de Pikine par la gendarmerie de Thiaroye pour coups et blessures volontaires au préjudice de Seybnabou Diouf.
Walf Grand Place
Voilà des années que le sieur Abou Faye sort en amoureux avec Seynabou Diouf. Ils habitent le même quartier, à Pikine Guinaw rails. Les choses marchent comme sur des roulettes dans cette idylle. Le jeune garçon subvient tant bien que mal aux besoins de la fille. Laquelle rend cela à son prince charmant par un amour profond et sincère.
Cependant tout à tourné en eau de boudin lorsque les parents de la demoiselle découvrent que leur futur gendre est d’une famille castrée, un griot. Ils en font la remarque à leur fille et lui demandent de rompre immédiatement avec celui-ci. Mais, de peur de vexer son amant, la petite refuse de s’exécuter et continuer de fréquenter en cachette le bonhomme. Sa famille découvre néanmoins cela et lui profère des menaces.
Se sentant acculée Seynabou décide de rompre les amarres avec son prince charmant. Mais, quand elle en a parlé au jeune garçon, celui-ci entre dans une colère noire et traite de tous les noms d’oiseaux la fille. Il la persécute et la tabasse chaque fois qu’il la rencontre sans la rue.
N’en pouvant plus la demoiselle en informe ses parents qui avisent la famille du jeune garçon. Mais, cela a décuplé le courroux de Faye qui, se considérant comme un citron pressé puis jeté, décide de se venger. Il débarque alors au lieu de commerce de la demoiselle et lui demande de le suivre. Mais, cette dernière se montre réticente et finit par accepter. « Quand j’ai accepté de le suivre, il m’a conduit dans un endroit ou il m’a tabassée en me donnant des coups de poings, devant des gens. Il a fallu l’intervention d’un vieillard qui passait pour qu’il daigne me lâcher. Il a même roulé de coups de poing mon sauveur de Viel homme », déclare la commerçante qui indique avoir eu des blessures et autres hématomes sur plusieurs parties du corps. Elle a déposé une plainte avec constitution de partie civile assortie d’un certificat médical de 10 jours d’incapacité temporaire de travail contre son « bourreau » d’ancien petit ami.
Le mis en cause a reconnu sur toute la ligne les faits, mais il nie cependant avoir malmené la fille au point de lui causer de graves blessures sur le corps. « Je connais assez bien Seynabou pour avoir vécu avec elle durant des années. C’est vous dire que le motif de notre séparation n’est venue ni d’elle ni de moi. C’est plutôt les parents de celle-ci qui en sont à l’origine. Ils ont manigancé tout cela pour m’éloigner de leur fille. Ceci, en vue de me mettre en prison. Car, pour eux, notre relation est anormale du fait que je sois un griot. Ils ont profité de cette bastonnade pour demander à leur fille de sortir avec un autre garçon du quartier. Ce que je ne pouvais concevoir », soutient Abou.
Faye a été déférée au parquet de Pikine par la gendarmerie de Thiaroye pour coups et blessures volontaires au préjudice de Seybnabou Diouf.
Walf Grand Place