Fermeture de Yavuz Selim Saint-Louis: Les élèves et leurs parents bloqués à l'entrée
Les parents d'élèves de l'établissement Yavuz Selim qui ont payé l'intégralité de la scolarité de leurs enfants depuis Mai, et qui se sont vus interdits l'accès à l'école par les forces de l'ordre qui étaient sur lieux depuis 06 h 30, ne savent plus ce qu'ils doivent faire.
En effet, ils étaient environ 150 élèves, parents d'élèves, enseignants, personnels administratifs, à s’être rendus hier, lundi 25 septembre à l'établissement pour l'ouverture des classes, malgré toute la communication faite par les autorités.
Pour appel, les écoles "Yavuz Selim" ne peuvent plus fonctionner à cause de la guéguerre politique entre le Président Turque Erdogan et son ennemi juré Gulen (initiateur de ces écoles). L’arrêté qui permettait au groupe de rouler a été rendu officiellement caduc par un autre arrêté du ministère de l'Intérieur. L'agrément a été retiré.
Cependant, des parents dont les enfants fréquentent cette école depuis des années qui s'accrochaient à un dernier brin d'espoir, ont insisté pour y aller. Mais c'était sans compter avec la détermination des hommes du Commissaire El Hadji Bécaye Diarra, du Commissariat Central de Saint-Louis qui ont étaient renforcés par leurs collègues du Groupement Mobile d'Intervention (Gmi). En tenue, ils étaient dans deux véhicules bondés de policiers, sans compter ceux qui étaient postés devant la porte. Les parents, enseignants et élèves qui venaient par groupes, ont été priés de rebrousser chemin et de se disperser. Ils ont obéi après avoir tenté en vain de prendre les policiers par les sentiments.
Le Commissaire Diarra qui était sur les lieux, leur a suggéré de s'approcher du Gouverneur ou du Préfet. Voyant qu'il y avait un déploiement de force pour dissuader toute éventualité de tension, ils sont rentrés, vers 11 heures, désabusés, après avoir tenu un point de presse. Le dispositif est maintenu.
L'As
En effet, ils étaient environ 150 élèves, parents d'élèves, enseignants, personnels administratifs, à s’être rendus hier, lundi 25 septembre à l'établissement pour l'ouverture des classes, malgré toute la communication faite par les autorités.
Pour appel, les écoles "Yavuz Selim" ne peuvent plus fonctionner à cause de la guéguerre politique entre le Président Turque Erdogan et son ennemi juré Gulen (initiateur de ces écoles). L’arrêté qui permettait au groupe de rouler a été rendu officiellement caduc par un autre arrêté du ministère de l'Intérieur. L'agrément a été retiré.
Cependant, des parents dont les enfants fréquentent cette école depuis des années qui s'accrochaient à un dernier brin d'espoir, ont insisté pour y aller. Mais c'était sans compter avec la détermination des hommes du Commissaire El Hadji Bécaye Diarra, du Commissariat Central de Saint-Louis qui ont étaient renforcés par leurs collègues du Groupement Mobile d'Intervention (Gmi). En tenue, ils étaient dans deux véhicules bondés de policiers, sans compter ceux qui étaient postés devant la porte. Les parents, enseignants et élèves qui venaient par groupes, ont été priés de rebrousser chemin et de se disperser. Ils ont obéi après avoir tenté en vain de prendre les policiers par les sentiments.
Le Commissaire Diarra qui était sur les lieux, leur a suggéré de s'approcher du Gouverneur ou du Préfet. Voyant qu'il y avait un déploiement de force pour dissuader toute éventualité de tension, ils sont rentrés, vers 11 heures, désabusés, après avoir tenu un point de presse. Le dispositif est maintenu.
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