Face à la vague de contestation de sa présence militaire en Afrique, la France a décidé de réduire une longue présence de ses troupes dans le continent noir et surtout, dans des pays qu’elle avait colonisés.
Et avec lesquels elle avait signé non seulement des accords de défense mais aussi, des accords de coopération culturelle, technique, financiers et économiques entre autres. « La philosophie de ce changement, c’est de coopérer autrement, pas de mettre plus ou moins d’hommes. Nous rentrons dans un cycle où nous allons travailler en deuxième rideau », confiait un conseiller du président Emmanuel Macron.
Lequel avait décidé, à l’entame de son second quinquennat en février 2023, de revoir la politique de la présence militaire française en Afrique
Ce départ des forces françaises aura plusieurs impacts, dont le premier s’est qu’il se fera ressentir par les travailleurs civils. Ces derniers, qui appuient au niveau de l’administration et des travaux divers le dispositif opérationnel, constituent actuellement un effectif de 200 travailleurs.
Au terme du processus, 150 employés civils des EFS vont perdre leurs emplois. Seule une cinquantaine d’employés civils vont garder leurs emplois. L’Etat-major des EFS a cependant mis en place un dispositif social d’accompagnement, pour les travailleurs qui vont partir.
Extraits du quotidien "Le Témoin"
Et avec lesquels elle avait signé non seulement des accords de défense mais aussi, des accords de coopération culturelle, technique, financiers et économiques entre autres. « La philosophie de ce changement, c’est de coopérer autrement, pas de mettre plus ou moins d’hommes. Nous rentrons dans un cycle où nous allons travailler en deuxième rideau », confiait un conseiller du président Emmanuel Macron.
Lequel avait décidé, à l’entame de son second quinquennat en février 2023, de revoir la politique de la présence militaire française en Afrique
Ce départ des forces françaises aura plusieurs impacts, dont le premier s’est qu’il se fera ressentir par les travailleurs civils. Ces derniers, qui appuient au niveau de l’administration et des travaux divers le dispositif opérationnel, constituent actuellement un effectif de 200 travailleurs.
Au terme du processus, 150 employés civils des EFS vont perdre leurs emplois. Seule une cinquantaine d’employés civils vont garder leurs emplois. L’Etat-major des EFS a cependant mis en place un dispositif social d’accompagnement, pour les travailleurs qui vont partir.
Extraits du quotidien "Le Témoin"