L’auteur de TGV de déplorer la prédominance de la musique et constate même que « dans cette musique, qui est plus mise en exergue dans ce festival, on ne sent pas la tradition. Là aussi, elle est reléguée au second plan ».
Pour démontrer cette erreur de reléguer au second plan la culture, le cinéaste donne l’exemple de la lutte. « Je vous donne l’exemple de la lutte. Le stade était plein à craquer parce que justement la lutte occupe une place non négligeable dans la culture sénégalaise. Je crois donc qu’elle devait faire partie des activités d’ouverture et non être une sorte de complément ».
Ce ne sont pas les seuls critiques formulées par Moussa Touré à travers les colonnes du journal Walf grand-place de ce vendredi. Concernant le cinéma, il a des regrets, « …je crois que des gens comme Sembène Ousmane, Djibril Diop, Mambéti, Félix, Johnson, méritent d’être mis en avant. Ce Fesman 3 était l’occasion inespérée de les présenter à nos jeunes mais surtout au monde ».
Ndiaga DIOUF pressafrik.com
Pour démontrer cette erreur de reléguer au second plan la culture, le cinéaste donne l’exemple de la lutte. « Je vous donne l’exemple de la lutte. Le stade était plein à craquer parce que justement la lutte occupe une place non négligeable dans la culture sénégalaise. Je crois donc qu’elle devait faire partie des activités d’ouverture et non être une sorte de complément ».
Ce ne sont pas les seuls critiques formulées par Moussa Touré à travers les colonnes du journal Walf grand-place de ce vendredi. Concernant le cinéma, il a des regrets, « …je crois que des gens comme Sembène Ousmane, Djibril Diop, Mambéti, Félix, Johnson, méritent d’être mis en avant. Ce Fesman 3 était l’occasion inespérée de les présenter à nos jeunes mais surtout au monde ».
Ndiaga DIOUF pressafrik.com