L’inopportunité du Fesman est mesurée ( par l’Alliance pour la République/Yaakaaar) par rapport à l’immensité des défis qui attendent le parti au pouvoir : flambée des prix, échec de la campagne de commercialisation agricole et incapacité de l’Etat de mettre fin aux délestages.
« Au moment où notre agriculture est sabotée, aggravant ainsi la pauvreté et la misère du monde rural, le pouvoir pour prolonger la courbe de ses actions en matière de scandales financiers, organise un Fesman inepte, sans objet sinon la consolidation d’une saga familiale, qui au final, n’aura servi qu’a engloutir près de 40 milliards de FCFA », déclare le parti dans un communiqué parvenu à Ferloo.
Abordant la situation internationale, le Directoire politique de l’APR estime que au-delà des positions binaires (« Pro – OUATTARA » contre « Pro – GBAGBO »), la crise ivoirienne « soulève de grandes questions politiques qui doivent figurer au cœur de nos préoccupations ». « En vérité, la question de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire doit être associée à celle des élections en Guinée, où cinq (5) mois se sont écoulés entre les deux tours de scrutin et celle des élections en Egypte, où l’opposition n’a pas eu une présence significative », ajoute les « apéristes ».
Ferloo.com
« Au moment où notre agriculture est sabotée, aggravant ainsi la pauvreté et la misère du monde rural, le pouvoir pour prolonger la courbe de ses actions en matière de scandales financiers, organise un Fesman inepte, sans objet sinon la consolidation d’une saga familiale, qui au final, n’aura servi qu’a engloutir près de 40 milliards de FCFA », déclare le parti dans un communiqué parvenu à Ferloo.
Abordant la situation internationale, le Directoire politique de l’APR estime que au-delà des positions binaires (« Pro – OUATTARA » contre « Pro – GBAGBO »), la crise ivoirienne « soulève de grandes questions politiques qui doivent figurer au cœur de nos préoccupations ». « En vérité, la question de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire doit être associée à celle des élections en Guinée, où cinq (5) mois se sont écoulés entre les deux tours de scrutin et celle des élections en Egypte, où l’opposition n’a pas eu une présence significative », ajoute les « apéristes ».
Ferloo.com