« Comment peut-on octroyer des milliers d’hectares à un seul individu, là où de paisibles citoyens éprouvent toutes les peines du monde à avoir un toit ?», s’est ainsi interrogé l’imam ratib de la Grande mosquée Moussanté.
Selon imam Tafsir Babacar Ndiour, « souvent le bénéficiaire de ces milliers d’hectares finit par les morceler en parcelles, pour ensuite les vendre ».
Le guide religieux a ensuite mis le « bénéficiaire » et celui qui lui donne ces vastes étendues de terres, dans le « même sac de la tortuosité ».
Pour sa part, l’imam idrissa Gaye de la mosquée des Parcelles assainies Unité 2, a soutenu que « la philosophie du foncier semble reposer sur la ‘’loi du plus fort’’ ».
Et de convoquer le saint-Coran, pour prévenir : « le jour de la résurrection, lorsque la terre tremblera pour les besoins du dernier jugement, chacun rendra compte devant Allah Le Tout-Puissant de ses actes ».
Avec Le Témoin
Selon imam Tafsir Babacar Ndiour, « souvent le bénéficiaire de ces milliers d’hectares finit par les morceler en parcelles, pour ensuite les vendre ».
Le guide religieux a ensuite mis le « bénéficiaire » et celui qui lui donne ces vastes étendues de terres, dans le « même sac de la tortuosité ».
Pour sa part, l’imam idrissa Gaye de la mosquée des Parcelles assainies Unité 2, a soutenu que « la philosophie du foncier semble reposer sur la ‘’loi du plus fort’’ ».
Et de convoquer le saint-Coran, pour prévenir : « le jour de la résurrection, lorsque la terre tremblera pour les besoins du dernier jugement, chacun rendra compte devant Allah Le Tout-Puissant de ses actes ».
Avec Le Témoin