L’histoire de l’humanité est riche en cours d’eau qui ont nettement amélioré le niveau de vie des populations riveraines. Le Nil, considéré comme un don de Dieu à l’Egypte et à tous les pays traversés, est un exemple illustratif. Le Soungroungou, un défluent du fleuve Casamance qui serpente sur toute l’étendue de la contrée historique du Djassing en arrosant plus d’une dizaine de villages et la grande agglomération qu’est Marsassoum, capitale de la commune rurale éponyme, peut être rangé dans cette catégorie.
Les populations des villages traversés ainsi que celles de l’agglomération de Marsassoum ont toujours tiré une bonne partie de leurs revenus de l’exploitation des ressources du Soungroungou, un défluent du fleuve Casamance qui serpente sur toute l’étendue de la contrée historique du Djassing. Soungroungou, un nom imprononçable par la plupart des personnes du 3e âge et particulièrement par celles n’ayant pas fréquenté l’école française. Selon l’historien Bouly Dramé décédé aujourd’hui, la faute incombe au colon qui aurait mal transcrit le nom mandingue qu’on lui a donné quand il a voulu connaître le nom du fleuve. « On lui aurait dit : Soumboundou Boulot – boulot voulant dire bras en langue Mandinka – ce qui signifie que le cours d’eau va jusqu’au village de Soumboundou sur la route de Kolda mais situé un peu à l’intérieur. Il devient sous la plume du colon Soungroungou », a-t-il expliqué un jour. Cette erreur de transcription est à l’origine du mot imprononçable. Mais les populations ont pu la contourner en appelant le fleuve « Nna Baa », signifiant « notre fleuve ».
La principale activité a toujours été la pêche. Dans l’exercice de cette activité, des localités sont devenues plus célèbres que d’autres comme Diaoo Fatoto et Marsassoum. Elles sont nombreuses les personnes du 3e âge qui se rappellent la période des grosses carpes de Marsassoum appelées « Marsassoum Fourbaalou ». De ces grosses carpes de Marsassoum, il n’en reste plus rien.
Causes de la raréfaction du poisson
Ce qui caractérise, aujourd’hui, la pêche tout le long du Soungroungou, c’est la rareté du poisson voire même le manque total parfois. Les deux rives autrefois touffues de mangroves ont toutes disparu aujourd’hui, laissant un « désert sur fleuve ». Wandifa Touré, un pêcheur, se rappelle cette période de pêche abondante. « Il suffisait de prendre son petit filet appelé Wafou dialanding. Un seul coup de filet et le tour est joué et on avait la quantité de poisson suffisante pour le repas du jour. Les pêcheurs qui s’adonnaient à la pêche commerciale, eux, remplissaient des pirogues sans difficulté », se rappelle-t-il.
La salinité est venue tout remettre en cause en détruisant, en un temps record, toutes ces mangroves, privant les populations d’une de leurs ressources principales. Les pêcheurs maliens qui ne sont pas du tout en odeur de sainteté avec les communautés exploitant le fleuve sont aussi pointés du doigt. « Les mailles qu’ils utilisent ne sont pas du tout règlementaires malgré l’interdiction de leur utilisation par le service de la pêche. Cette mesure n’a jamais été respectée », regrette le jeune Hamady Fall, membre de l’association des pêcheurs sur le Soungroungou. Celui qui a hérité ce métier de son père nourrit une autre inquiétude. « À côté de la pêche peu fructueuse que nous exerçons, il y a une autre qui rapporte beaucoup plus pour presque tout le monde : le transport de clients entre les deux rives moyennant seulement 100 FCfa pour la traversée. Mais que deviendra cette activité une fois le pont sur le Soungroungou inauguré ? », se demande-t-il.
Tentative de régénération de la mangrove
Compte tenu de l’importance de la mangrove dans la reproduction des poissons, ce qui améliore la vie des riverains le long des cours d’eau, l’écologiste Aly Aïdar a lancé, à Marsassoum, un projet de régénération de ces végétaux aquatiques. En vain. « Malgré notre bonne volonté, nous jeunes ayant eu en charge ce projet, la salinisation a eu raison des trois cents plants de mangroves que nous avons reçus du promoteur », se désole Papanding Cissé, le responsable. Les pêcheurs maliens sont également pointés du doigt à travers les mailles non règlementaires : 50 mm pour le poisson, 26 mm pour les crevettes qu’ils utilisent parfois. Il a fallu la médiation des autorités locales pour maintenir la cohésion sociale. Les signes qui prouvent que le poisson est devenu rare sur le Soungroungou, c’est l’absence de martin-pêcheurs, ces oiseaux qui voltigeaient au-dessus des eaux saumâtres y plongeaient avant de prendre les airs avec, au bout du bec, un frétillant petit poisson.
Quel avenir pour la pêche fluviale ?
Malgré les faibles mises à terre, la pêche tant bien que mal se poursuit avec des tailles de poisson qui n’attirent plus comme autrefois. Mais la situation pour les travailleurs du Soungroungou est préoccupante. « Avec l’inauguration du bac prévue pour bientôt, nous serons tous au chômage, il paraît qu’on nous prévoit quelque chose dans le Balantacounda, mais nous attendons de voir et nous souhaitons plutôt qu’on nous finance des projets », soutient Jean Christophe Thiaré, conducteur du bac de Marsassoum. Il est convaincu que la mise en service du pont sera incompatible avec les rotations du bac. Autres préoccupations, celles des pêcheurs qui ne voient qu’un avenir sombre. Il faut quand même garder espoir puisque la pêche peut bien retrouver son lustre d’antan. Depuis en effet 2017, un projet regroupe cinq collectivités territoriales : Bémet Bidjiny, Bjibabouya, Marsassoum dans le département de Sédhiou, Oulampane et Ouonk dans celui de Bignona. Ces deux départements ont créé le projet intitulé Cadre de concertation pour la pêche (Ccp) dont le siège se trouve à Marsassoum. Le projet a bénéficié d’un financement pour son fonctionnement et d’un équipement. Une équipe était chargée de le gérer. Hélas, tout n’a pas été rose. Cette grande zone a été créée pour une exploitation optimale de toutes les ressources halieutiques du fleuve. Lors d’une récente visite du Ministre de la pêche Alioune Ndoye, toutes les difficultés rencontrées ont été passées en revue par les responsables du comité de gestion. « Malgré l’encadrement des services techniques, nous n’avons pas atteint les résultats escomptés », avait constaté pour le regretter les responsables de ce projet devant le Ministre qui a promis de trouver des solutions en fonction des urgences.
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L’histoire de la maison commerciale Arsens et Fils liée à celle des chalands
On ne peut pas parler du fleuve Soungroungou sans faire de rapprochement historique avec les maisons de commerce installées à l’époque à Marsassoum. Ce sont notamment Nosoco, Maurel et Prom, mais surtout la maison Arsens et Fils. Cette dernière était la plus célèbre en raison de l’activité principale qu’elle exerçait : l’achat et l’acheminement des graines d’arachides par chaland vers Ziguinchor. Le remplissage de ces chalands était déjà un spectacle, et le départ donné par trois coups de sirène de la vedette chargée de remorquer les chalands jusqu’à Ziguinchor était un autre spectacle. La course effrénée à laquelle se livraient tous ces passagers candidats au voyage sans frais qui criaient « alli Mbaatou nbinaato, alli kanang ntoudjang » (attendez, on arrive, il ne faut pas nous laisser ici). Parmi ces nombreux passagers généreusement transportés vers Ziguinchor, les plus remarqués étaient les élèves, parmi eux Wandifa Touré, ancien élève du Lycée Djignabo. « Pendant presque toute ma scolarité à Djignabo, pour toutes les vacances, soit pour aller à Ziguinchor ou revenir à Marsassoum, j’ai toujours pris les chalands. Ils ont longtemps marqué le décor devant la maison Arsens et Fils. Ils ont tous disparu de nos jours et se trouveraient à Ziguinchor », confie-t-il.
On pouvait tranquillement dormir sur les bas-côtés des chalands sans oublier qu’ils sont remplis de graines d’arachide. Le retour était encore plus gai puisque les chalands étaient vides et on pouvait improviser, à bord, des spectacles qui poussaient beaucoup de personnes à voyager à bord pour en profiter. À l’arrivée à Marsassoum, on descendait comme on le fait d’un avion, c’est-à-dire sans la moindre couche de poussière alors que si c’est par la route, tout le monde est rouge comme des Kankourangs.
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Un fleuve où ne devait se baigner un étranger
Les maisons commerciales avaient rendu Marsassoum et ses environs célèbres, mais la légende qui entourait le fleuve y avait fortement contribué aussi. En allant dans la capitale du Djassing, surtout en tant qu’étranger, ce sont de fortes recommandations qu’on reçoit et qui sont aussi à l’origine de cette célébrité. Quelles que soient les raisons de votre visite, on vous disait « kanéé kouu baato, bamboo lou bidjélé minka lountang Domo » (ne te lave pas dans le fleuve sinon tu seras victime des caïmans). Et gare à celui ou celle qui ne respectera pas cette consigne. « Le récalcitrant est traîné jusqu’au milieu du fleuve et là, le caïman le soulevait de manière à le montrer à tout le monde pour la dernière fois, avant de disparaître avec lui », raconte Mamadou Sylla Sagna. À quand remonte le dernier cas ? Beaucoup de mémoires ont encore de gros trous. C’est qu’aujourd’hui, on n’entend plus de pareilles anecdotes puisqu’il n’y a plus de caïmans sur le Soungroungou, la salinisation du cours d’eau ayant aussi largement contribué à leur disparition. Les autres activités connues auparavant comme le maraîchage reprennent petit à petit comme à Magnora 2 où les femmes, à côté du fleuve, bénéficient d’un nouveau forage.
PETIT MÉTIER, GROS PROFIT
MOUHAMED DIALLO, VENDEUR DE CHARBON DE BOIS
Passion ardente
Activité génératrice de revenus, la vente de charbons de bois nourrit bien son homme. Mouhamed Diallo, originaire de la Guinée Conakry, ne dira pas le contraire. Il exerce ce métier depuis 2010 et y trouve bien son compte.
Malgré l’usage des bonbonnes de gaz butane par les ménages sénégalais, le recours au charbon de bois reste toujours de mise dans certains foyers. Ce business fait le bonheur de ceux qui l’exercent. C’est le cas de Mouhamed Diallo qui confie que le métier nourrit bien son homme. Trouvé en plein palabre avec ses amis, à côté de son hangar, Mouhamed, habillé en short et en débardeur, s’est gentiment ouvert à nous pour parler de son métier : la vente de charbon de bois. Ce métier qu’il a embrassé depuis 2010 lui permet, jusqu’à présent, de tenir son ménage mais également de soutenir financièrement sa mère et sa sœur restées en Guinée Conakry, son pays d’origine. Chaque jour, dès 7 heures du matin, Mouhamed Diallo arrive dans son hangar de charbon sis au marché Castor. Avec sa tenue dédiée et ses chaussures basket à moitié usées, ce jeune homme démarre sa journée avec beaucoup d’enthousiasme. Avec sa clientèle déjà fidélisée et d’autres commandes du jour, Mouhamed engrange quotidiennement la somme de 22.000 FCfa. À son avis, cette somme peut augmenter surtout en période de fraîcheur, car les clients consomment beaucoup plus de charbon de bois durant cette période. De même, note-t-il, avec la cherté du gaz, les ménages utilisent de plus en plus le charbon de bois. « Avec ces gains, j’arrive à renouveler régulièrement mon stock, à assurer ma popote, à payer mon loyer et à subvenir aux besoins de ma famille restée au pays », renseigne notre interlocuteur. Toutefois, Mouhamed Diallo déplore, dans l’exercice de ce métier, cette injustice que leur infligent les livreurs. Il pointe du doigt une dizaine de sacs remplis de croûtes de charbons, placés dans un coin du hangar, prêts à être jetés. « Il arrive de retrouver dans les sacs que nous achetons une quantité énorme de poussière de charbon ; ce qui peut porter préjudice à nos ventes », se désole-t-il.
Maguette Guèye DIÉDHIOU
AU CŒUR DES ARCHIVES DU SOLEIL
CAMBRIOLAGE AVORTÉ
Pour 595 000 FCfa, « la bande des quatre » condamnée aux travaux forcés
Ils espéraient mettre la main sur un pactole de 80 à 100 millions de FCfa en braquant le bureau du payeur de l’Asecna en septembre 1976. Mais, Mathialao Ngom et ses acolytes se sont retrouvés avec…595 000 FCfa. Ils ont été condamnés aux travaux forcés.
Condamné une première fois à 15 ans de travaux forcés, Mathialao Ngom avait interjeté appel. C’était en 1978. Sept années plus tard, le cerveau du braquage avorté à l’Asecna s’était, à nouveau, présenté, avec sa bande, à la barre de la Cour d’assises de Dakar réunie en sa première audience de la deuxième session de l’année 1985. Ils étaient accusés de « vol avec violences et port d’armes, avec usage de violence, voies de faits et prise d’otage ». En effet, Mathialao Ngom avait réuni chez lui Mohamed Koné et Lamine Guèye, et préparait leur coup qui devait leur rapporter, selon leur estimation, 80 à 100 millions de FCfa. Ils avaient veillé en prenant le thé avant de s’embarquer le 20 septembre 1976 dans le bus P.8 de 6 heures du matin pour l’aéroport Dakar-Yoff. Tous les trois étaient des ex-parachutistes durant leur service militaire. Ils étaient munis d’un sac contenant un revolver de la Police volé par l’instigateur à son frère Aliou qui était en service au 1er arrondissement, un couteau à cran d’arrêt, un rouleau de sparadrap, une cordelette et trois cagoules. Le payeur n’arrivait qu’à 9 heures le matin et ils le savaient grâce aux renseignements fournis par Mamadou Diouf, alors manœuvre dans cette même société. Une fois sur les lieux, ils avaient fait irruption dans le bureau du payeur de l’Asecna, Mamadou Tidiane Niang, pour s’emparer de la somme de 595 000 FCfa que contenait le coffre. Tout se passait bien jusqu’au moment où un chauffeur, très attentif, remarqua que les trois hommes qui venaient d’entrer dans le bureau du payeur n’avaient pas salué au passage. Un coup d’œil lui révéla que le payeur était ligoté.
L’alerte donnée, les cambrioleurs avaient tenté de se frayer un passage à travers la foule d’employés et de curieux en prenant en otage le payeur. Mais, ils n’avaient pu aller jusqu’au véhicule du payeur, la foule et en particulier deux employés intrépides, El Hadji Malick Diène et Libasse Diagne, ayant jeté leur va-tout pour se jeter sur eux. Le coup avait ainsi foiré.
L’avocat général n’avait pas hésité à couper l’herbe sous les pieds des avocats de la défense. Il a qualifié les trois principaux accusés de « gangsters à la petite semaine ». Campant les délits de vol, le représentant du ministère public a expliqué que les trois lascars ayant tiré des renseignements de Mamadou Diouf s’attendaient à trouver 80 ou 100 millions de FCfa dans le coffre du payeur de l’Asecna qui distribuait les salaires du 20 au 25, mais leur plan a échoué. Il a ainsi demandé plus de sévérité à la Cour pour éviter, à l’avenir, que les justiciables ne se fassent justice eux-mêmes.
Pour la Cour, ils sont trois coupables de vol avec prise d’otage en réunion et avec port d’armes, usage de violences, de menace et voies de faits. Elle a condamné Mathialao Ngom à 12 années de travaux forcés, Mohamed Koné et Lamine Guèye à 10 ans de travaux forcés. Mamadou Diouf, reconnu coupable de complicité, avait écopé de 5 ans, peine qu’il avait déjà purgé, tandis que les trois autres qui avaient été libérés sous condition allaient retourner en prison.
Samba Oumar FALL (Source Jacques Diouf, « Le Soleil » du 17 décembre 1985)
LAISSEZ-PASSER
Les apôtres de l’impertinence
Par Alassane Aliou Fèré MBAYE
Il est le héros des temps insolites. Le héraut de la ruine de l’âme. Nous profanons, avec lui, la stèle commémorant la morale collective. Ses loufoqueries nous amusent. Nous nous égayons comme devant les acrobaties d’un saltimbanque. Les ressorts de nos âmes, périlleusement, s’affaiblissent. Pour captiver nos esprits plats, il faut s’appeler Koukandé l’imposteur mégalomane, Khalifa le rappeur bouffon du « penc » virtuel, Adamo qui se complait dans la salacité, Karim XX le corniaud. Ils sont légion, ces apôtres de l’impudence, de l’inconvenance. Pour accaparer l’attention, il faut aussi être un politicien délirant, aux discours pleins de hâbleries, dissimulant mal un égotisme obsédant, un religieux siphonné face à ses adeptes excités comme une puce, un fieffé menteur, un fanfaronnard chômeur de luxe à qui la presse et les réseaux sociaux ont offert un exutoire. Et il s’égosille. Les demi-dieux de l’impertinence ont de la marge.
Le chouchou de ceux qui croupissent dans l’abjection fait partie de ces créatures que l’on « parquait » dans l’arrière-cour au moment de recevoir les hôtes. Les étrangetés de nos temps l’ont mis au-devant de la scène. Et il a ses défenseurs. Il a plus besoin d’aide que d’être porté en triomphe. Aujourd’hui, on conçoit la vulgarité comme le signe de nos nouvelles libertés, de notre vaillance, ou plutôt de notre ostentatoire bravoure. Comme tous ces « meilleurs journalistes du Sénégal » qui font le bravache. Quel éloge renferme le fait d’accabler quelqu’un d’injures que l’on se refuse à vous rendre que par mépris ? C’est sans doute là la preuve d’une crasse ignorance, d’une méconnaissance de sa déficience.
Les hommes politiques et les religieux, eux-mêmes, doivent travailler à rendre leur « paroles » mémorables par leur pertinence, leur portée. Les intervenants dans l’espace public ont besoin d’asseoir une nouvelle légitimité pour être dignes de notre écoute. La politique (ou disons le pouvoir de parler pour d’autres), n’est pas une sphère de permissivité qui confère le droit de réduire tous leurs propos à l’insignifiance. Les autres le font déjà assez bien.
DRÔLE D’HISTOIRE
Une sexagénaire se fait passer pour une amie du défunt et repart avec les bijoux
Une voleuse de biens de personnes décédées qui sévissait lors des enterrements s’est fait arrêter mardi, rapporte le Nord littoral.
Lors de l’enterrement d’un de leurs proches, une famille rencontre une femme de 60 ans qui demande à se recueillir devant le cercueil de celui qu’elle présente comme son ami.
La famille accepte et la laisse s’entretenir seule avec le corps du défunt. Mais, à leur retour dans la salle, ils découvrent, avec surprise, que tous les objets de valeurs du mort ont disparu avec la prétendue amie.
La Police, alertée par la famille, a finalement arrêté la voleuse qui était vraisemblablement organisée, puisqu’elle avait avec elle en sa possession divers avis mortuaires.
Elle avait également des bijoux qui appartenaient à la victime du vol, mais également à deux autres personnes qu’elle avait dépouillées plus tôt dans la journée.
www.tvanouvelles.ca
CITATION DU JOUR
« La modération dans le tempérament est toujours une vertu ; dans les principes, c’est toujours un vice ».
Thomas Paine
Source : http://lesoleil.sn/feuilles-dhivernage-le-soungrou...