‘’Ce que le PCE a apporté de nouveau, c’est cette chaîne de valeur qui part des préoccupations et des désidératas du consommateur (qui dicte sa loi dans un système où la production domestique) est en concurrence directe avec le riz importé d’Asie’’, a-t-il dit lors d’une conférence de presse.
La rencontre avec les journalistes, à l’initiative du projet USAID/PCE (Agence américaine pour le développement international) et ses partenaires, avait pour objectif de présenter l’intervention dudit projet dans la chaîne de valeur du riz.
A ce propos, M. Gaye a souligné que l’innovation majeure du PCE c’est d’avoir décortiqué le principe de qualité et vu comment remonter à chaque niveau et définir les critères qui permettent au bout du compte d’obtenir un produit qui répond aux désirs du consommateur.
Il a fait savoir que le plus gros problème qui s’est posé pour le développement du riz domestique, communément appelé riz local, c’est la non-conformité avec les critères qui définissent le mobile du consommateur qui est exigeant en système de marché.
Selon lui, le consommateur est une subjectivité qui n’est pas seulement un demandeur de calories. Ainsi le PCE tient à ce que les variétés de riz qui sont produites, répondent en grande partie à des paramètres qui ont été identifiés comme étant un déterminant pour le consommateur urbain.
‘’Notre ambition est de faire de sorte qu’on puisse proposer au consommateur urbain un produit qui du point de vue nutritionnelle est supérieure aux meilleurs concurrents sur le marché du riz importé’’, a assuré Matar Gaye, également cultivateur à Mboss.
Pour le chef d’équipe des chaînes de valeur, Jean Michel Voisard, le Sénégal dispose d’n produit vendable et compétitif qui, selon lui, donne matière à faire de l’expansion.
‘’Nous avons maintenant un riz parfumé de qualité qui est produit par la vallée et qui peut tenir la concurrence directement avec les importations’’, a confié M. Voisard.
Toutefois, précise-t-il, il serait illusoire de penser qu’il y a possibilité de faire de l’expansion de périmètres sans avoir un produit de qualité marchande qui peut concurrencer les produits importés à Dakar.
Cependant, avise le chef d’équipe des chaînes de valeurs du PCE, avec les nouvelles variétés, avec les niveaux de productions qui sont atteints, avec la compétitivité du produit lui-même, il y a matière à investir.
Pour M. Gaye, des investisseurs privés commencent à se manifester avec de petites entreprises privées qui ont commencé à investir dans la capacité de transformation et dans la production agricole, juste parce qu’il y a un produit vendable à leur disposition.
SOURCE:APS
La rencontre avec les journalistes, à l’initiative du projet USAID/PCE (Agence américaine pour le développement international) et ses partenaires, avait pour objectif de présenter l’intervention dudit projet dans la chaîne de valeur du riz.
A ce propos, M. Gaye a souligné que l’innovation majeure du PCE c’est d’avoir décortiqué le principe de qualité et vu comment remonter à chaque niveau et définir les critères qui permettent au bout du compte d’obtenir un produit qui répond aux désirs du consommateur.
Il a fait savoir que le plus gros problème qui s’est posé pour le développement du riz domestique, communément appelé riz local, c’est la non-conformité avec les critères qui définissent le mobile du consommateur qui est exigeant en système de marché.
Selon lui, le consommateur est une subjectivité qui n’est pas seulement un demandeur de calories. Ainsi le PCE tient à ce que les variétés de riz qui sont produites, répondent en grande partie à des paramètres qui ont été identifiés comme étant un déterminant pour le consommateur urbain.
‘’Notre ambition est de faire de sorte qu’on puisse proposer au consommateur urbain un produit qui du point de vue nutritionnelle est supérieure aux meilleurs concurrents sur le marché du riz importé’’, a assuré Matar Gaye, également cultivateur à Mboss.
Pour le chef d’équipe des chaînes de valeur, Jean Michel Voisard, le Sénégal dispose d’n produit vendable et compétitif qui, selon lui, donne matière à faire de l’expansion.
‘’Nous avons maintenant un riz parfumé de qualité qui est produit par la vallée et qui peut tenir la concurrence directement avec les importations’’, a confié M. Voisard.
Toutefois, précise-t-il, il serait illusoire de penser qu’il y a possibilité de faire de l’expansion de périmètres sans avoir un produit de qualité marchande qui peut concurrencer les produits importés à Dakar.
Cependant, avise le chef d’équipe des chaînes de valeurs du PCE, avec les nouvelles variétés, avec les niveaux de productions qui sont atteints, avec la compétitivité du produit lui-même, il y a matière à investir.
Pour M. Gaye, des investisseurs privés commencent à se manifester avec de petites entreprises privées qui ont commencé à investir dans la capacité de transformation et dans la production agricole, juste parce qu’il y a un produit vendable à leur disposition.
SOURCE:APS