L'un des premiers sujets de discorde a porté sur la place de M. Le Pen dans la campagne, notamment depuis qu'il s'est fait remarquer en citant un poème de l'écrivain collaborationniste et antisémite Robert Brasillach à la tribune d'une convention présidentielle de sa fille, le 18 février à Lille.
Le terme de "vigilance orange" autour de l'ancien chef -- comprendre qu'il est surveillé comme le lait sur le feu -- a été soufflé aux journalistes, quelques semaines plus tard, par un membre de l'équipe de campagne et a fortement déplu à certains. Dans Le Monde daté de jeudi, Marine Le Pen a finalement désigné elle-même l'auteur de ces propos : "ça, c'est la connerie de Nicolas Bay", l'un de ses sept porte-parole. Et d'ajouter: "c'est lui qui devrait être sous vigilance orange!".
"Il devrait se souvenir que c'est grâce à Jean-Marie Le Pen qu'il est revenu au FN", a aussi taclé mardi soir, devant quelques journalistes, le numéro 2 du parti, Louis Aliot. Au sein de l'équipe, Nicolas Bay fait partie d'un trio que les frontistes appellent les "trois B", avec le chef de cabinet de Marine Le Pen, Bruno Bilde, et le secrétaire général du parti d'extrême droite Steeve Briois, ces deux derniers étant aussi élus dans le Nord-Pas-de-Calais.
SOURCE:APS
Le terme de "vigilance orange" autour de l'ancien chef -- comprendre qu'il est surveillé comme le lait sur le feu -- a été soufflé aux journalistes, quelques semaines plus tard, par un membre de l'équipe de campagne et a fortement déplu à certains. Dans Le Monde daté de jeudi, Marine Le Pen a finalement désigné elle-même l'auteur de ces propos : "ça, c'est la connerie de Nicolas Bay", l'un de ses sept porte-parole. Et d'ajouter: "c'est lui qui devrait être sous vigilance orange!".
"Il devrait se souvenir que c'est grâce à Jean-Marie Le Pen qu'il est revenu au FN", a aussi taclé mardi soir, devant quelques journalistes, le numéro 2 du parti, Louis Aliot. Au sein de l'équipe, Nicolas Bay fait partie d'un trio que les frontistes appellent les "trois B", avec le chef de cabinet de Marine Le Pen, Bruno Bilde, et le secrétaire général du parti d'extrême droite Steeve Briois, ces deux derniers étant aussi élus dans le Nord-Pas-de-Calais.
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