‘’Nous devons régler la question du financement des opérations de paix par un mécanisme pérenne. Il ne suffit pas de dire que nous allons prendre 3% du Produit intérieur brut (PIB) et 2% des exportations pour le faire, mais il nous faut un mécanisme contraignant, permettant d’imposer aux Etats de payer’’, a-t-elle notamment souligné.
La ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur participait à une rencontre précédant la tenue à Dakar du 8e Forum international sur la paix et la sécurité. ‘’L’Afrique à l’épreuve des chocs exogènes, défis de stabilité et souveraineté’’ est le thème de cette rencontre prévue du 24 au 25 octobre 2022.
"Il faut trouver un mécanisme contraignant de financement et assurer sa bonne gouvernance. (…) La question du financement, nous y réfléchissons et nous sommes en train de trouver des solutions idoines", a fait savoir Aïssata Tall Sall.
Aussi, espère-t-elle que d’ici deux ans, il sera davantage question de prévention que d’intervention. "Si nous mettons beaucoup plus l’accent sur l’argent, la mobilisation de nos énergies et la définition de nos politiques sur la prévention, nous aurons encore moins d’intervention", a-t-elle ainsi fait valoir.
Elle a insisté sur le fait que le continent africain avait toujours nourri la volonté, par elle-même, de faire face aux questions sécuritaires.
D'après l'Aps, le chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MUNISMA), El Ghassim Wane, représentant le chef de l’ONU à la rencontre, a, de son côté, fait part de la nécessité de créer un rééquilibrage entre la prévention et les opérations de maintien de paix.
Le Commissaire en charge de la paix et de la sécurité de la CEDEAO, Abdel Fatao, des diplomates accrédités à Dakar et des acteurs des médias, ont participé à cette rencontre.
La ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur participait à une rencontre précédant la tenue à Dakar du 8e Forum international sur la paix et la sécurité. ‘’L’Afrique à l’épreuve des chocs exogènes, défis de stabilité et souveraineté’’ est le thème de cette rencontre prévue du 24 au 25 octobre 2022.
"Il faut trouver un mécanisme contraignant de financement et assurer sa bonne gouvernance. (…) La question du financement, nous y réfléchissons et nous sommes en train de trouver des solutions idoines", a fait savoir Aïssata Tall Sall.
Aussi, espère-t-elle que d’ici deux ans, il sera davantage question de prévention que d’intervention. "Si nous mettons beaucoup plus l’accent sur l’argent, la mobilisation de nos énergies et la définition de nos politiques sur la prévention, nous aurons encore moins d’intervention", a-t-elle ainsi fait valoir.
Elle a insisté sur le fait que le continent africain avait toujours nourri la volonté, par elle-même, de faire face aux questions sécuritaires.
D'après l'Aps, le chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MUNISMA), El Ghassim Wane, représentant le chef de l’ONU à la rencontre, a, de son côté, fait part de la nécessité de créer un rééquilibrage entre la prévention et les opérations de maintien de paix.
Le Commissaire en charge de la paix et de la sécurité de la CEDEAO, Abdel Fatao, des diplomates accrédités à Dakar et des acteurs des médias, ont participé à cette rencontre.