Selon le ministre de l’Economie et des Finances qui en a fait la révélation hier, ces financements viennent de 29 conventions signées avec 12 Partenaires techniques et financiers (Ptf). Des fonds qui vont ainsi permettre de mettre sur les rails un total de 30 projets dans les secteurs de l’agriculture, de l’éducation, de la formation, de la santé, de l’assainissement et des infrastructures.
Selon Amadou Ba, qui procédait hier à la signature d’une convention de financement avec le Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud), «le Pse est bien amorcé au regard de la progression de la mobilisation des promesses de financements».
Amadou Ba, qui insiste sur la rupture introduite par le Pse, se réjouit d’autant plus de la contribution du système des Nations-Unies dont les engagements à Paris étaient de 110 milliards de francs cfa.
Le Passe en orbite
Une partie de ce financement d’un montant d’environ 868 millions de francs Cfa a été dégagée par le Pnud et le Fonds des Nations-Unies pour la population (Fnuap) pour financer le fonctionnement du Programme d’appui au suivi du Pse (Passe).
D’après le ministre des Finances, le Passe «trouve sa justification dans le besoin d’accompagnement du gouvernement du Sénégal dans ses initiatives de rationalisation des coûts et d’élimination des dysfonctionnements administratifs, mais aussi d’amélioration de l’efficacité de l’Administration dans la mise en œuvre des politiques publiques».
Le Passe servira donc à appuyer le Bureau opérationnel de suivi du Pse (Bosse) en mettant un accent particulier sur le renforcement de capacités du secteur public à délivrer les projets et réformes prioritaires déclinées dans le Pse, se réjouit Mme Bintou Djibo, coordonnatrice résidente du système des Nations-Unies au Sénégal.
«L’appui du Pnud permettra de mettre à la disposition du Bosse 5 experts, spécialistes en macro-économie, mobilisation de ressources, communication, suivi-évaluation et de contribuer à l’amélioration de l’efficacité institutionnelle et organisationnelle du secteur public», souligne Amadou Ba. Ce dont se réjouit le ministre en charge du Pse.
Mohammed Ndione explique que pour la première fois, ce sont les ministères, les agences et leurs démembrements qui seront en première ligne. D’où la nécessité de renforcer les ressources humaines afin, souligne le ministre, d’inculquer au secteur public des principes de gestion basés sur l’identification des priorités, la formulation d’objectifs clairs, la définition des responsabilités respectives, l’évaluation des résultats, la mesure de la satisfaction du citoyen, l’autonomisation et la performance des gestionnaires ainsi que l’évaluation du rendement des gestionnaires publics.
Il s’agit ainsi de «consolider la culture de performance et de bonne gouvernance dans la mise en œuvre des politiques publiques et d’appuyer les autorités sénégalaises à répondre de façon adéquate aux exigences de bien-être des populations qui réclament une gestion des affaires publiques plus saine, davantage de responsabilités et de transparence et une plus grande efficacité des politiques publiques pour l’obtention de résultats tangibles», précise Mme Djibo.
Le Quotidien
Selon Amadou Ba, qui procédait hier à la signature d’une convention de financement avec le Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud), «le Pse est bien amorcé au regard de la progression de la mobilisation des promesses de financements».
Amadou Ba, qui insiste sur la rupture introduite par le Pse, se réjouit d’autant plus de la contribution du système des Nations-Unies dont les engagements à Paris étaient de 110 milliards de francs cfa.
Le Passe en orbite
Une partie de ce financement d’un montant d’environ 868 millions de francs Cfa a été dégagée par le Pnud et le Fonds des Nations-Unies pour la population (Fnuap) pour financer le fonctionnement du Programme d’appui au suivi du Pse (Passe).
D’après le ministre des Finances, le Passe «trouve sa justification dans le besoin d’accompagnement du gouvernement du Sénégal dans ses initiatives de rationalisation des coûts et d’élimination des dysfonctionnements administratifs, mais aussi d’amélioration de l’efficacité de l’Administration dans la mise en œuvre des politiques publiques».
Le Passe servira donc à appuyer le Bureau opérationnel de suivi du Pse (Bosse) en mettant un accent particulier sur le renforcement de capacités du secteur public à délivrer les projets et réformes prioritaires déclinées dans le Pse, se réjouit Mme Bintou Djibo, coordonnatrice résidente du système des Nations-Unies au Sénégal.
«L’appui du Pnud permettra de mettre à la disposition du Bosse 5 experts, spécialistes en macro-économie, mobilisation de ressources, communication, suivi-évaluation et de contribuer à l’amélioration de l’efficacité institutionnelle et organisationnelle du secteur public», souligne Amadou Ba. Ce dont se réjouit le ministre en charge du Pse.
Mohammed Ndione explique que pour la première fois, ce sont les ministères, les agences et leurs démembrements qui seront en première ligne. D’où la nécessité de renforcer les ressources humaines afin, souligne le ministre, d’inculquer au secteur public des principes de gestion basés sur l’identification des priorités, la formulation d’objectifs clairs, la définition des responsabilités respectives, l’évaluation des résultats, la mesure de la satisfaction du citoyen, l’autonomisation et la performance des gestionnaires ainsi que l’évaluation du rendement des gestionnaires publics.
Il s’agit ainsi de «consolider la culture de performance et de bonne gouvernance dans la mise en œuvre des politiques publiques et d’appuyer les autorités sénégalaises à répondre de façon adéquate aux exigences de bien-être des populations qui réclament une gestion des affaires publiques plus saine, davantage de responsabilités et de transparence et une plus grande efficacité des politiques publiques pour l’obtention de résultats tangibles», précise Mme Djibo.
Le Quotidien