Ce n’est pas simple une soirée. La troisième édition de la nuit du Foddé Fouta, organisée chaque année, est une chaîne de solidarité. Dans un Grand Théâtre de Dakar rempli, Baaba Maal a honoré son standing et sa réputation. Sur le pan musical d’abord : L’’interprétation de certaines chansons fétiches a plongé ses fanas sur une scène de joie. Entre lui et le public, l’alchimie est comme une note sur un papier glacé. Dans un élan de complicité renouvelée, ils savourent ces instants pareils. Même s’ils sont très courants, une dose de nostalgie arrive toujours à raviver l’étincelle qui devient une brûlante flamme sous les paillettes du Grand Théâtre. On chante et danse pour la bonne cause. Les sourires sont contagieux. Et la chaleur humaine évacue la fraîcheur du soir qui enveloppe le Grand Théâtre.
Sur le plan humanitaire : Samedi, Baaba Maal ne fêtait pas son anniversaire. Leader du Dande Leñol, Baaba Maal sait mettre son talent au service de la collectivité. C’est la belle facette de la musique qui finance les causes justes et nobles. C’est-à-dire l’assistance sociale. Derrière les notes de joie, il y a ce volet humanitaire qui montre que la musique n’est pas seulement un business qui engraisse les grosses pointures sénégalaises. Comme lui. Il est toujours au cœur de la chaîne de solidarité pour permettre à ses compatriotes d’accéder à certaines commodités sociales.
La nuit de l’Association Foddé Fouta est un instant où les hommes, guidés par leur instinct solidaire, se réunissent pour mettre la main à la poche. Les fonds serviront au financement de projets de développement dans plusieurs contrées du Fouta. Là-bas, les urgences sont vitales : l’accès à l’eau potable, la construction de cases de santé et d’écoles, la promotion des séries scientifiques afin d’encourager les jeunes élèves, la distribution d’ordinateurs portables. Depuis plus de 30 ans, le leader du Dande Leñol inscrit son… chant musical sur ces questions. Au final, le duo Dande Leñol-Foddé Fouta est un réceptacle des doléances de compatriotes qui cherchent à sortir des ténèbres de la pauvreté. N’est-ce pas Mamadou Boubou Sall ? «Il faut que chaque fils du terroir apporte sa pierre pour la construction de notre zone, car le développement n’est rien d’autre que la réalisation de petites choses, mais de manière sérieuse», explique le président de l’Association Foddé Fouta. C’est cela qu’on appelle une association à but non lucratif. Et Baba Maal, leur porte-parole.
Le Quotidien
Sur le plan humanitaire : Samedi, Baaba Maal ne fêtait pas son anniversaire. Leader du Dande Leñol, Baaba Maal sait mettre son talent au service de la collectivité. C’est la belle facette de la musique qui finance les causes justes et nobles. C’est-à-dire l’assistance sociale. Derrière les notes de joie, il y a ce volet humanitaire qui montre que la musique n’est pas seulement un business qui engraisse les grosses pointures sénégalaises. Comme lui. Il est toujours au cœur de la chaîne de solidarité pour permettre à ses compatriotes d’accéder à certaines commodités sociales.
La nuit de l’Association Foddé Fouta est un instant où les hommes, guidés par leur instinct solidaire, se réunissent pour mettre la main à la poche. Les fonds serviront au financement de projets de développement dans plusieurs contrées du Fouta. Là-bas, les urgences sont vitales : l’accès à l’eau potable, la construction de cases de santé et d’écoles, la promotion des séries scientifiques afin d’encourager les jeunes élèves, la distribution d’ordinateurs portables. Depuis plus de 30 ans, le leader du Dande Leñol inscrit son… chant musical sur ces questions. Au final, le duo Dande Leñol-Foddé Fouta est un réceptacle des doléances de compatriotes qui cherchent à sortir des ténèbres de la pauvreté. N’est-ce pas Mamadou Boubou Sall ? «Il faut que chaque fils du terroir apporte sa pierre pour la construction de notre zone, car le développement n’est rien d’autre que la réalisation de petites choses, mais de manière sérieuse», explique le président de l’Association Foddé Fouta. C’est cela qu’on appelle une association à but non lucratif. Et Baba Maal, leur porte-parole.
Le Quotidien