Des informations recueillies de ce qui est relatif à ce Colloque, ont montré que cette rencontre était organisée conjointement par la Grande loge nationale française (Glnf) et la Grande loge du Sénégal (Gls) (…), qui avait pour objectif de répandre la Franc-maçonnerie régulière au Sénégal et en Afrique. Loge qui deviendra d'ailleurs, le support de la création en 1993, de la Grande Loge du Sénégal. Nous en fêtons cette année le cinquantenaire".
La Franc-maçonnerie régulière à la conquête du Sénégal et de l'Afrique
Le cinquantenaire de la consécration de la RL Kumen n°133 à l'Orient de Dakar; a été, selon la même source, "l'occasion d'évoquer la Franc-Maçonnerie en Afrique, l'action de ses Grandes Loges nationales et le soutien fraternel de la Glnf en tant que Grande Loge mère au cours d'un colloque qui s'était tenu dans le Grand Temple Jean Mons de la Grande Loge Nationale Française, sise à Paris".
Dans ledit document visité par Dakaractu, il est rappelé que "si l'histoire officielle fait remonter l'introduction de la Franc-Maçonnerie en Afrique à la seconde moitié du XVIIIe siècle, les similitudes entre les traditions initiatiques africaines et les pratiques de la Franc-maçonnerie conduisent à penser que celle-ci y a trouvé un terrain fertile puisque l'Afrique, berceau de l'humanité, est par excellence la terre des traditions initiatiques.
La pratique de l'initiation au sein des sociétés traditionnelles africaines offre un domaine inépuisable d'exploration, de recherche, de développement moral et spirituel. Il existe un pont indéniable et des passerelles insoupçonnées entre la Franc-Maçonnerie de tradition et les traditions initiatiques africaines".
La Franc-maçonnerie régulière à la conquête du Sénégal et de l'Afrique
Le cinquantenaire de la consécration de la RL Kumen n°133 à l'Orient de Dakar; a été, selon la même source, "l'occasion d'évoquer la Franc-Maçonnerie en Afrique, l'action de ses Grandes Loges nationales et le soutien fraternel de la Glnf en tant que Grande Loge mère au cours d'un colloque qui s'était tenu dans le Grand Temple Jean Mons de la Grande Loge Nationale Française, sise à Paris".
Dans ledit document visité par Dakaractu, il est rappelé que "si l'histoire officielle fait remonter l'introduction de la Franc-Maçonnerie en Afrique à la seconde moitié du XVIIIe siècle, les similitudes entre les traditions initiatiques africaines et les pratiques de la Franc-maçonnerie conduisent à penser que celle-ci y a trouvé un terrain fertile puisque l'Afrique, berceau de l'humanité, est par excellence la terre des traditions initiatiques.
La pratique de l'initiation au sein des sociétés traditionnelles africaines offre un domaine inépuisable d'exploration, de recherche, de développement moral et spirituel. Il existe un pont indéniable et des passerelles insoupçonnées entre la Franc-Maçonnerie de tradition et les traditions initiatiques africaines".
Le colloque prévu pour durer 8 heures devait traiter de nombreux thèmes. Selon le planning qui était retenu, c'est après l'accueil par le Grand Maître de la Glnf Jean-Pierre Servel, il revenait au Trf Yérim Thiam, Grand Maître de la Grande Loge du Sénégal, d'ouvrir les débats. Son camarade Trf Alain Roger Coefe, Grand Maître de la Grande Loge du Burkina Faso, avait la charge d'alimenter les réflexions consacrées aux divers aspects du développement de la Franc-Maçonnerie régulière en Afrique.
Une table-ronde avait été aussi annoncée pour occuper l'après-midi sur le thème "perspectives et bienfaits de la Franc-Maçonnerie en Afrique". La journée a été clôturée par le Grand Maître de la Grande Loge du Sénégal, le TRF Yérim Thiam.
Une table-ronde avait été aussi annoncée pour occuper l'après-midi sur le thème "perspectives et bienfaits de la Franc-Maçonnerie en Afrique". La journée a été clôturée par le Grand Maître de la Grande Loge du Sénégal, le TRF Yérim Thiam.