Si l’on en croit des informations relayées par le Journal du dimanche (Jdd) qui avait révélé cette affaire, « Ama M’Bodji et Fatou Diouf, un couple de Sénégalais âgés de 30 ans et domiciliés à Mantes-la-Jolie (Yvelines) », ont les premiers, permis d’éclairer la lanterne des policiers dans cette affaire. Selon toujours le JDD, Ama M’bodji se dit chef d’entreprise mais est surtout connu pour escroqueries ; il est d’ailleurs sous le coup d’une condamnation à six mois de prison avec sursis » alors que Fatou Diouf travaille à mi-temps comme vendeuse et élève ses deux enfants, âgés de 8 et 2 ans.
Des sources policières révèlent que le couple avait déjà été impliqué, l’an dernier, dans une escroquerie similaire qui leur avait permis d’acheter des vêtements de bébé et des téléphones portables.
Cependant, Ama Mbodj et Fatou Diouf ne seraient pas les auteurs principaux et que le vrai faussaire est activement recherché dans le cadre d’une information judiciaire pour « escroquerie en bande organisée ». L’avocat des deux concubins a fait appel de la mise en détention de ses clients, outré par "la sévérité" de la mesure. Selon lui, « seule la qualité de la victime (Nicolas Sarkozy ndlr), justifie la détention d’une mère de famille » .
Ces derniers développements contredisent les propos relayés dans Walfadjiri quotidien du 24 octobre de M. Léopold Faye, Consul général du Sénégal à Paris. M. Faye affirmait, entre autres, que les prévenus « ne sont pas des Sénégalais ». Interpellé par nos confrères, il s’était même montré plus précis : « je n’ai pas à démentir, mais selon les informations dont je dispose, ce ne sont pas des Sénégalais, ce sont des Congolais ».
Des sources policières révèlent que le couple avait déjà été impliqué, l’an dernier, dans une escroquerie similaire qui leur avait permis d’acheter des vêtements de bébé et des téléphones portables.
Cependant, Ama Mbodj et Fatou Diouf ne seraient pas les auteurs principaux et que le vrai faussaire est activement recherché dans le cadre d’une information judiciaire pour « escroquerie en bande organisée ». L’avocat des deux concubins a fait appel de la mise en détention de ses clients, outré par "la sévérité" de la mesure. Selon lui, « seule la qualité de la victime (Nicolas Sarkozy ndlr), justifie la détention d’une mère de famille » .
Ces derniers développements contredisent les propos relayés dans Walfadjiri quotidien du 24 octobre de M. Léopold Faye, Consul général du Sénégal à Paris. M. Faye affirmait, entre autres, que les prévenus « ne sont pas des Sénégalais ». Interpellé par nos confrères, il s’était même montré plus précis : « je n’ai pas à démentir, mais selon les informations dont je dispose, ce ne sont pas des Sénégalais, ce sont des Congolais ».