Paris compte aller plus vite dans les échanges franco-africains. Le président François Hollande a émis l'idée de création d'une banque de l'exportation au profit des grands contrats internationaux qui seront scellés avec le continent. «L'Afrique, c'est notre avenir. Sa fabuleuse progression démographique, sa forte croissance ces dernières années, ses ressources naturelles et ses capacités d'assurer son développement nous poussent à davantage tenir en compte ce continent», telle est l'intime conviction du président Hollande qui s'adressait à ses pairs africains, aux 700 délégués venus participer au forum franco-africain de Bercy. Chef d'orchestre de ce grand projet à la fois futuriste et réaliste, le chef de l'Etat, François Hollande a dit que la banque d'exportation permettra à mieux promouvoir les exportations des entreprises françaises, via des financements structurants, innovants et très accessibles, en étroite collaboration avec le ministre des Finances, Michel Sapin. La banque d'exportation internationale qui reliera la France à l'Afrique devra intervenir fin mars 2015.
«Ce dispositif concernera tous les pays, tous les secteurs économiques sans restriction et chaque fois qu'il y aura un contrat qui dépasse un certain volume, 100 ou 200 millions d'euros», a affirmé le président François Hollande.
Début décembre 2013, lors du Sommet France -Afrique de l'Elysée, Paris s'était engagé à verser par l'intermédiaire des guichets de l'AFD une ligne d'investissement à hauteur de 20 Mds d'euros sur 5 ans. Le président Hollande a rassuré devant un parterre de dirigeants africains que les promesses seront tenues. A cette enveloppe se greffera une enveloppe de 1 milliard d'euros destinée à promouvoir les nouvelles technologies et la transition énergétique en Afrique.
Lesafriques.com
«Ce dispositif concernera tous les pays, tous les secteurs économiques sans restriction et chaque fois qu'il y aura un contrat qui dépasse un certain volume, 100 ou 200 millions d'euros», a affirmé le président François Hollande.
Début décembre 2013, lors du Sommet France -Afrique de l'Elysée, Paris s'était engagé à verser par l'intermédiaire des guichets de l'AFD une ligne d'investissement à hauteur de 20 Mds d'euros sur 5 ans. Le président Hollande a rassuré devant un parterre de dirigeants africains que les promesses seront tenues. A cette enveloppe se greffera une enveloppe de 1 milliard d'euros destinée à promouvoir les nouvelles technologies et la transition énergétique en Afrique.
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