Quand on imagine notre interlocuteur, Gad Elmaleh, José Garcia, Omar Sy et Joey Starr ensemble lors du tournage, on se dit que ça a dû être une franche partie de rigolade. Une raison de plus d'avoir envie d'être de l'aventure, non?
"Il y avait pas mal de blagues, c'est vrai mais pas seulement. Il y a beaucoup de respect entre nous. On a tous commencé en même temps, on n'est pas forcément tous clients de ce que font les autres mais on sait que chacun est capable de rivaliser avec l'autre dans son registre. Je ne dirais pas que c'était une ambiance de colonie de vacances parce qu'il n'y avait pas de leader, mais c'était un peu ça quand même. Il y avait une certaine solidarité, qui s'est créée spontanément par l'endroit de tournage. C'est une île minuscule. C'était une sorte de remise à niveau. On logeait chez l'habitant, il n'y avait pas de loge. C'était comme si on débutait. Il n'y avait pas de star. Et puis, en short et en crampons, on se retrouve tous à zéro. C'était un concours d'humilité avec quelques grandes gueules." (Il sourit.)
Joey Starr, par exemple ? (Son altercation avec Michel de Maegd au JT de RTL a eu lieu après notre interview, NDLR)
Pas forcément. Il est grande gueule mais il ne court pas partout. Joey Starr, c'est un tigre endormi dans un coin. Si on lui tire la queue, ça risque de faire très mal. En fait, c'était une ambiance cour de recrée avec des gens qui ont quarante ans. Si on en avait eu 25, ça aurait été différent.
"Il y avait pas mal de blagues, c'est vrai mais pas seulement. Il y a beaucoup de respect entre nous. On a tous commencé en même temps, on n'est pas forcément tous clients de ce que font les autres mais on sait que chacun est capable de rivaliser avec l'autre dans son registre. Je ne dirais pas que c'était une ambiance de colonie de vacances parce qu'il n'y avait pas de leader, mais c'était un peu ça quand même. Il y avait une certaine solidarité, qui s'est créée spontanément par l'endroit de tournage. C'est une île minuscule. C'était une sorte de remise à niveau. On logeait chez l'habitant, il n'y avait pas de loge. C'était comme si on débutait. Il n'y avait pas de star. Et puis, en short et en crampons, on se retrouve tous à zéro. C'était un concours d'humilité avec quelques grandes gueules." (Il sourit.)
Joey Starr, par exemple ? (Son altercation avec Michel de Maegd au JT de RTL a eu lieu après notre interview, NDLR)
Pas forcément. Il est grande gueule mais il ne court pas partout. Joey Starr, c'est un tigre endormi dans un coin. Si on lui tire la queue, ça risque de faire très mal. En fait, c'était une ambiance cour de recrée avec des gens qui ont quarante ans. Si on en avait eu 25, ça aurait été différent.