Pour François Hollande, plus exactement « la hollandie » du changement en action. Place maintenant à la France et à l’Afrique en lieu et place de la Françafrique. Nous l’avions déjà dit. Bien sûr, la visite du président français, François Hollande à Dakar, le 12 octobre 2012, s’inscrit parfaitement en droite ligne de la victoire de Moustapha Niasse et de Tanor Dieng, bien sûr, sans oublier le charismatique Abdoulaye Bathily, sans lesquels, naturellement, rien n’était possible au soir du 25 mars 2012. Ce n’est pas la victoire de celui que l’on croit, élu à défaut et par dépit, en l’occurrence, le maquilleur. Qui peut donc nier cette vérité éternelle, sauf peut être les illuminés de la tartufferie, jouant les courbettes pour plaire ? Heureusement que les esprits libres dans leur majorité ont compris cela. Normal. Le président normal d’une république normale vient maintenant donner un cours magistral de bonne gouvernance à son homologue. C’est le minimum qu’il puisse faire à l’apprenti sorcier, sorti de l’école libérale de Wade.
S’il y a des présidents qui abusent et qui jouissent du pouvoir, ce n’est pas François hollande. Ce n’est pas dans sa nature. C’est le cas de le dire. Discours rassembleur d’un homme d’honneur : le président français, François Hollande : officines, françafrique, trouvent portes closes ! Les hommes partent, mais l’histoire elle, reste éternelle devant l’éternel.
5 ans après les injuries les plus effroyables, mises en musique dans le lieu du crime par un conseiller, qui fut le collaborateur le plus scotché et le plus fidèle pour ses accointances et ses valeurs ubuesques avec le disciple le plus emphase avec la philosophie Hégélienne, « l’Afrique n’est pas assez entrée dans l’histoire », le nouveau Président français, plus averti, plus pondéré et plus lucide par sa matière grise, en l’occurrence, François Hollande, le président normal d’une république normale, prend le contrepied de son prédécesseur, remet, lui, les pendules à l’heure, compense courtoisement et heureusement le discours de la courroie haineuse, négationniste d’une certaine « obédience » idéologiquement ultra droitière jusqu’à la lie. Commence, alors, sûrement une nouvelle ère plus radieuse qu’elle ne l’était auparavant.
Un geste de haute portée historique, qui efface ipso facto et enterre définitivement le discoureur hasardeux d’un aventurier notoirement connu pour ses déclarations tonitruantes et aux contours nostalgiquement colonialistes. L’endroit solennellement symbolique sacre l’honneur et la victoire personnelle de l’actuel président de l’auguste Assemblée Nationale, Moustapha Niasse, l’éternel faiseur de roi. Il n’est pas besoin d’être un expert politique pour le comprendre. François Hollande à Dakar : Portes désormais closes aux officines et à françafrique ! Place maintenant au partenariat réciproquement plus franc sur des bases sincères voulues et égalitaires. C’est bien le discours qu’on attend d’un chef d’état de haute stature, digne de ce nom. Dont acte, Monsieur le président !
Le combat continue !
Ahmadou Diop
S’il y a des présidents qui abusent et qui jouissent du pouvoir, ce n’est pas François hollande. Ce n’est pas dans sa nature. C’est le cas de le dire. Discours rassembleur d’un homme d’honneur : le président français, François Hollande : officines, françafrique, trouvent portes closes ! Les hommes partent, mais l’histoire elle, reste éternelle devant l’éternel.
5 ans après les injuries les plus effroyables, mises en musique dans le lieu du crime par un conseiller, qui fut le collaborateur le plus scotché et le plus fidèle pour ses accointances et ses valeurs ubuesques avec le disciple le plus emphase avec la philosophie Hégélienne, « l’Afrique n’est pas assez entrée dans l’histoire », le nouveau Président français, plus averti, plus pondéré et plus lucide par sa matière grise, en l’occurrence, François Hollande, le président normal d’une république normale, prend le contrepied de son prédécesseur, remet, lui, les pendules à l’heure, compense courtoisement et heureusement le discours de la courroie haineuse, négationniste d’une certaine « obédience » idéologiquement ultra droitière jusqu’à la lie. Commence, alors, sûrement une nouvelle ère plus radieuse qu’elle ne l’était auparavant.
Un geste de haute portée historique, qui efface ipso facto et enterre définitivement le discoureur hasardeux d’un aventurier notoirement connu pour ses déclarations tonitruantes et aux contours nostalgiquement colonialistes. L’endroit solennellement symbolique sacre l’honneur et la victoire personnelle de l’actuel président de l’auguste Assemblée Nationale, Moustapha Niasse, l’éternel faiseur de roi. Il n’est pas besoin d’être un expert politique pour le comprendre. François Hollande à Dakar : Portes désormais closes aux officines et à françafrique ! Place maintenant au partenariat réciproquement plus franc sur des bases sincères voulues et égalitaires. C’est bien le discours qu’on attend d’un chef d’état de haute stature, digne de ce nom. Dont acte, Monsieur le président !
Le combat continue !
Ahmadou Diop