Même si le chef des homologations, qui a été relevé de ses fonctions, jure qu’il ne s’agissait que d’une erreur, son comportement dans cette affaire est des plus intrigants. En effet, informe le quotidien, il a été pris pour faux à deux reprises dans le même dossier. Dans un premier temps, il a tripatouillé les spécifications des modèles fournis par Ccbm et Tata pour les « coller » à celles déclinées dans le dossier d’appel d’offres lancé par le ministère de l’Education nationale.
Mais, renseigne le canard de Cheikh Mbacké Guissé, la manœuvre n’a pas prospéré puisque le département que dirige Serigne Mbaye Thiam lui a signalé son « erreur », croyant qu’il s’était trompé de bonne foi. Pris une première fois, le chef des homologations est revenu à la charge avec un faux authentique qui sautait à l’œil nu. A en croire le journal, toutes les homologations avaient le même numéro d’enregistrement. C’est d’ailleurs cette deuxième « erreur » qui a fait naître des soupçons au ministère de l’Education nationale avant que le ministère des Transports ne se saisisse de l’affaire.
Les vérifications administratives ont révélé une kyrielle de faux dont le but était de faire gagner coûte que coûte le marché aux concessionnaires Ccbm et Tata.
Mais, renseigne le canard de Cheikh Mbacké Guissé, la manœuvre n’a pas prospéré puisque le département que dirige Serigne Mbaye Thiam lui a signalé son « erreur », croyant qu’il s’était trompé de bonne foi. Pris une première fois, le chef des homologations est revenu à la charge avec un faux authentique qui sautait à l’œil nu. A en croire le journal, toutes les homologations avaient le même numéro d’enregistrement. C’est d’ailleurs cette deuxième « erreur » qui a fait naître des soupçons au ministère de l’Education nationale avant que le ministère des Transports ne se saisisse de l’affaire.
Les vérifications administratives ont révélé une kyrielle de faux dont le but était de faire gagner coûte que coûte le marché aux concessionnaires Ccbm et Tata.