Free devient le deuxième opérateur à disposer d’une licence d’exploitation de la 5G, cinq mois après que la Sonatel l’a obtenue.
« Nous avons ouvert des négociations avec les autres opérateurs pour leur permettre, en fonction des moyens dont ils disposent, de pouvoir être éligibles à la 5G », a dit le Directeur général de l’ARTP, Abdou Karim Sall, lors d’un point de presse.
Les coûts fixés par l’instance de régulation des télécommunications en vue de l’attribution de la 5G aux opérateurs, varient en fonction de la quantité et de la qualité des fréquences dont ils ont besoin, selon M. Sall.
La Sonatel a obtenu sa licence d’exploitation de cette norme de réseau de téléphonie mobile, en contrepartie de 34,5 milliards de francs Cfa, tandis que Free a payé 13,5 milliards pour l’avoir.
En juillet, « le montant mis sur la table par Free, ne correspondait pas aux 19 milliards représentant le bloc de base », a souligné le Directeur général de l’ARTP.
Il laisse entendre que cet opérateur n’avait pas atteint le montant nécessaire pour obtenir la licence d’exploitation.
Une licence est une convention de concession et un cahier des charges en même temps, a précisé Abdou Karim Sall.
Selon lui, le cahier des charges est signé par l’opérateur attributaire de la licence et les ministères des Télécommunications et des Finances.
La procédure est bouclée par la signature d’un décret d’approbation du président de la République.
Selon le Directeur général de l’ARTP, la Sonatel a élaboré un planning de déploiement de ses services 5G, dont la phase pilote commerciale est prévue en février 2024.
« Nous avons ouvert des négociations avec les autres opérateurs pour leur permettre, en fonction des moyens dont ils disposent, de pouvoir être éligibles à la 5G », a dit le Directeur général de l’ARTP, Abdou Karim Sall, lors d’un point de presse.
Les coûts fixés par l’instance de régulation des télécommunications en vue de l’attribution de la 5G aux opérateurs, varient en fonction de la quantité et de la qualité des fréquences dont ils ont besoin, selon M. Sall.
La Sonatel a obtenu sa licence d’exploitation de cette norme de réseau de téléphonie mobile, en contrepartie de 34,5 milliards de francs Cfa, tandis que Free a payé 13,5 milliards pour l’avoir.
En juillet, « le montant mis sur la table par Free, ne correspondait pas aux 19 milliards représentant le bloc de base », a souligné le Directeur général de l’ARTP.
Il laisse entendre que cet opérateur n’avait pas atteint le montant nécessaire pour obtenir la licence d’exploitation.
Une licence est une convention de concession et un cahier des charges en même temps, a précisé Abdou Karim Sall.
Selon lui, le cahier des charges est signé par l’opérateur attributaire de la licence et les ministères des Télécommunications et des Finances.
La procédure est bouclée par la signature d’un décret d’approbation du président de la République.
Selon le Directeur général de l’ARTP, la Sonatel a élaboré un planning de déploiement de ses services 5G, dont la phase pilote commerciale est prévue en février 2024.