Depuis les années 200,0 le système éducatif Sénégalais est malade. On a l'impression que les autorités ne pensent même plus à l'avenir de la jeunesse. On doit tous se poser deux questions:
Où est-ce que ces élèves se sont procurés les épreuves? Et qui doit subir les conséquences?
Déjà, l'Office du Bac est seul habilité à rédiger les sujets. Cependant, les personnes qui y travaillent sont les seuls( dans les normes) y ayant accès. Donc, soit les épreuves ont été vendues soit quelqu'un les a offertes à un membre de sa famille.
La réponse la plus probable serait dans ce cas, la vente de ces dernières sachant qu'au Sénégal, la corruption demeure une chose récurrente.
A mon avis, les élèves ne devraient pas subir les conséquences, car comme ils l'ont si bien dit "S'il n'y avait pas eu de vente, il n'y aurait pas eu d'achat".
De ce fait, les autorités sénégalaises doivent trouver ceux qui sont à l'origine de ces fuites et les sanctionner. La démission de M. Diaham est une obligation à mon avis, et comme on le dit, l'homme qu'il faut à la place qu'il faut.
Notre pays n'a que sa jeunesse et si nous ne nous occupons pas de son avenir, le futur du Sénégal sera incertain.
Abdou Lahat Mbacké, Université de haute Alsace de Mulhouse
Où est-ce que ces élèves se sont procurés les épreuves? Et qui doit subir les conséquences?
Déjà, l'Office du Bac est seul habilité à rédiger les sujets. Cependant, les personnes qui y travaillent sont les seuls( dans les normes) y ayant accès. Donc, soit les épreuves ont été vendues soit quelqu'un les a offertes à un membre de sa famille.
La réponse la plus probable serait dans ce cas, la vente de ces dernières sachant qu'au Sénégal, la corruption demeure une chose récurrente.
A mon avis, les élèves ne devraient pas subir les conséquences, car comme ils l'ont si bien dit "S'il n'y avait pas eu de vente, il n'y aurait pas eu d'achat".
De ce fait, les autorités sénégalaises doivent trouver ceux qui sont à l'origine de ces fuites et les sanctionner. La démission de M. Diaham est une obligation à mon avis, et comme on le dit, l'homme qu'il faut à la place qu'il faut.
Notre pays n'a que sa jeunesse et si nous ne nous occupons pas de son avenir, le futur du Sénégal sera incertain.
Abdou Lahat Mbacké, Université de haute Alsace de Mulhouse