Interrogé par les journalistes, ce père jésuite a indiqué que "l'enquête lancée par la gendarmerie vaticane selon les instructions de la Commission des cardinaux et sous la direction du Promoteur de justice du Vatican (procureur) a permis de localiser une personne en possession illégale de documents confidentiels".
"Cette personne se trouve actuellement à la disposition de la magistrature vaticane pour des approfondissements ultérieurs", a-t-il précisé. Le père Lombardi n'a donné aucune précision sur l'identité, la fonction de cette personne et la date de l'interpellation.
Cette semaine, le Vatican avait annoncé que la publication de ces documents peut être considérée comme un acte criminel.
Le Saint-Siège assurait qu'il ferait le nécessaire "afin que les personnes impliquées dans le vol, le recel et la divulgation d'informations secrètes, mais aussi dans l'utilisation à des fins commerciales de documents privés saisis et conservés de façon illégale, répondent de leurs actes devant la justice". Pour ce faire, le Saint-Siège entendait faire appel si nécessaire à la "collaboration internationale", pour ce qu'il qualifie d'"acte criminel" et de "violation de la vie privée" du pape.
La presse italienne avait révélé la semaine dernière de nouveaux documents confidentiels du Saint-Siège, trois semaines après que Benoît XVI eut mis en place une commission d'enquête afin de faire toute la lumière sur l'origine de fuites répétées au Vatican depuis le début de l'année.
"Cette personne se trouve actuellement à la disposition de la magistrature vaticane pour des approfondissements ultérieurs", a-t-il précisé. Le père Lombardi n'a donné aucune précision sur l'identité, la fonction de cette personne et la date de l'interpellation.
Cette semaine, le Vatican avait annoncé que la publication de ces documents peut être considérée comme un acte criminel.
Le Saint-Siège assurait qu'il ferait le nécessaire "afin que les personnes impliquées dans le vol, le recel et la divulgation d'informations secrètes, mais aussi dans l'utilisation à des fins commerciales de documents privés saisis et conservés de façon illégale, répondent de leurs actes devant la justice". Pour ce faire, le Saint-Siège entendait faire appel si nécessaire à la "collaboration internationale", pour ce qu'il qualifie d'"acte criminel" et de "violation de la vie privée" du pape.
La presse italienne avait révélé la semaine dernière de nouveaux documents confidentiels du Saint-Siège, trois semaines après que Benoît XVI eut mis en place une commission d'enquête afin de faire toute la lumière sur l'origine de fuites répétées au Vatican depuis le début de l'année.