Astou Diop a été victime de coup et blessure volontaire attestés par un certificat médical de 21jours d’incapacité temporaire de travail par le fait de la frangine de son mari, Déguéne Mbaye dite Khardiata. Cette dernière a malmené sa belle -sœur avant de lui infliger deux coups de briques sur le front et le dos.
Voilà dix ans que Déguéne et Astou vivent sur le même toi, au quartier sam -sam 3 de Thiaroye. Cependant, durant ces années, les deux dames se livrer, tout le temps à des disputes et autres querelles. Ce qui poussait les voisins de quartier à intervenir pour les séparer.
Samedi dernier, Astou s’affaire autour du petit déjeuner lorsque Déguéne arrive et lui réclame deux pantalons. Mais, avant même que la jeune femme ne réponde, elle la dépasse et entre dans sa chambre. Celle-ci s’emporte et rejoint sa belle- sœur. Elle l’interpelle, mais la coiffeuse refuse de lui adresser la parole et fouille fiévreusement dans ses affaires. Se sentant atteinte dans son honneur, elle attrape la main de Déguéne qui se rebiffe et déclare sur un ton amer être à la recherche de ses effets vestimentaires. Aussi continue –t-elle ses recherches au cours desquelles elle fait exprès de renverser au sol et casser les biens de la femme de son frère. Excédée, cette dernière intervient de manière énergique et somme son interlocutrice de sortir de sa chambre. Mais, cette dernière refuse et envoie balader Astou. Une bagarre éclate.
La coiffeuse ramasse une brique par terre et en inflige un coup dans le dos de sa belle-sœur. Elle titube et s’affale au sol. Déguéne boudant de rage, revient à la charge, lui monte dessus et lui administre un autre coup de brique au front. Le sang jaillit mais la jeune femme continue à s’acharner avec une violence inouïe sur l’épouse de son frangin qui se débat et crie de toutes ses forces. Des voisins arrivent et l’extirpe de griffes de son « bourreau ».
Voilà dix ans que Déguéne et Astou vivent sur le même toi, au quartier sam -sam 3 de Thiaroye. Cependant, durant ces années, les deux dames se livrer, tout le temps à des disputes et autres querelles. Ce qui poussait les voisins de quartier à intervenir pour les séparer.
Samedi dernier, Astou s’affaire autour du petit déjeuner lorsque Déguéne arrive et lui réclame deux pantalons. Mais, avant même que la jeune femme ne réponde, elle la dépasse et entre dans sa chambre. Celle-ci s’emporte et rejoint sa belle- sœur. Elle l’interpelle, mais la coiffeuse refuse de lui adresser la parole et fouille fiévreusement dans ses affaires. Se sentant atteinte dans son honneur, elle attrape la main de Déguéne qui se rebiffe et déclare sur un ton amer être à la recherche de ses effets vestimentaires. Aussi continue –t-elle ses recherches au cours desquelles elle fait exprès de renverser au sol et casser les biens de la femme de son frère. Excédée, cette dernière intervient de manière énergique et somme son interlocutrice de sortir de sa chambre. Mais, cette dernière refuse et envoie balader Astou. Une bagarre éclate.
La coiffeuse ramasse une brique par terre et en inflige un coup dans le dos de sa belle-sœur. Elle titube et s’affale au sol. Déguéne boudant de rage, revient à la charge, lui monte dessus et lui administre un autre coup de brique au front. Le sang jaillit mais la jeune femme continue à s’acharner avec une violence inouïe sur l’épouse de son frangin qui se débat et crie de toutes ses forces. Des voisins arrivent et l’extirpe de griffes de son « bourreau ».