Coumba Gawlo s’en frotte les mains. En Gambie depuis quelques jours, dans le cadre du Kanilai Festival, le plus grand rendez-vous culturel de ce pays, organisé dans le village natal du président, qu’elle a honorée de sa présence, l’interprète de «Cool» a su rentrer dans les bonnes grâces du président Yaya A.A. Jammeh, qui l’a traité à la mesure de sa dimension de star incontestable de la musique africaine. En effet, la Gawlo a eu un aperçu de la générosité du président gambien, qui ne s’est pas fait prier pour manifester sa sympathie à la chanteuse. Sans doute subjugué par les envolées lyriques de la diva, M. Jammeh a «dégainé» et de quelle manière ? En effet, indique notre source gambienne, «Son Excellence a cassé sa tirelire pour offrir gracieusement un million de dollars Us à notre Gawlo nationale».
Un cadeau qui ne pouvait laisser indifférente Coumba Gawlo, complètement aux anges. Geste qui, pour d’aucuns, trouve sa justification dans les relations privilégiées entre la chanteuse et le président Yaya Jammeh, «en froid» par contre avec un certain Youssou Ndour, lui-même pas en odeur de sainteté depuis quelques temps avec l’auteur de «Bine Bine». Visiblement prise de court par ce geste, Coumba n’a pu s’empêcher de lâcher des mots. «Dorénavant, je considère le président Jammeh comme un papa adoptif, et quiconque veut demander ma main pour le mariage devra s’adresser à lui pour obtenir son consentement», déclare une Couma Gawlo comblée.
La chanteuse n’était d’ailleurs pas la seule à bénéficier des largesses du président Jammeh, d’autant que son batteur tama (tambour d’aisselle) a également eu droit à des liasses de billets de banques offerts par le généreux donateur. Le percussionniste a ainsi récolté les fruits de sa prestation époustouflante avec son fameux «tama», qui a fait «vibrer» les «driankés» (grandes dames) et autres midinettes gambiennes, sous le regard de… «Mister Président». Dès lors, l’on comprend aisément les raisons qui avaient poussé Coumba Wawlo Seck à prolonger son séjour en terre gambienne, à la demande du président Jammeh himself. Car, des cadeaux d’une telle valeur, ça ne se refuse pas, surtout venant de la part d’un chef d’Etat de la stature de Yaya Jammeh.
rewmi
Un cadeau qui ne pouvait laisser indifférente Coumba Gawlo, complètement aux anges. Geste qui, pour d’aucuns, trouve sa justification dans les relations privilégiées entre la chanteuse et le président Yaya Jammeh, «en froid» par contre avec un certain Youssou Ndour, lui-même pas en odeur de sainteté depuis quelques temps avec l’auteur de «Bine Bine». Visiblement prise de court par ce geste, Coumba n’a pu s’empêcher de lâcher des mots. «Dorénavant, je considère le président Jammeh comme un papa adoptif, et quiconque veut demander ma main pour le mariage devra s’adresser à lui pour obtenir son consentement», déclare une Couma Gawlo comblée.
La chanteuse n’était d’ailleurs pas la seule à bénéficier des largesses du président Jammeh, d’autant que son batteur tama (tambour d’aisselle) a également eu droit à des liasses de billets de banques offerts par le généreux donateur. Le percussionniste a ainsi récolté les fruits de sa prestation époustouflante avec son fameux «tama», qui a fait «vibrer» les «driankés» (grandes dames) et autres midinettes gambiennes, sous le regard de… «Mister Président». Dès lors, l’on comprend aisément les raisons qui avaient poussé Coumba Wawlo Seck à prolonger son séjour en terre gambienne, à la demande du président Jammeh himself. Car, des cadeaux d’une telle valeur, ça ne se refuse pas, surtout venant de la part d’un chef d’Etat de la stature de Yaya Jammeh.
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