Ce festival était organisé par l’Agence américaine des affaires agricoles à l’étranger du Département américain de l’agriculture, associée à la Fédération américaine des exportateurs de viande américaine. Une occasion saisie par le maître-chef de l’hôtel Radisson Blu pour faire un exposé sur les différentes parties du bœuf, les modes et la nécessité de cuisson afin que la viande ne perde pas son goût et sa tendreté en passant au four ou sur le gril. De même a-t-il révélé son choix d’huile idéale pour réussir une bonne marinade, en répondant à une curiosité de l’ambassadeur ou encore pourquoi les amateurs de viande bien cuite doivent apprendre à faire preuve de patience.
Mais qu’a-t-elle de particulier cette viande de bœuf américaine ? Ses promoteurs la présentent comme une viande reconnue sur le plan mondial «pour sa tendreté, sa succulence et son goût». Des qualités obtenues selon leurs experts par un choix : «Les animaux qui produisent la viande de bœuf aux Etats-Unis sont issus des races à viande, élevés en pâturage et finis dans les ‘’feed lots’’ aux céréales.» C’est-à-dire qu’à l’âge de 15 mois et à une centaine de jours de l’abattage, les bêtes évoluent dans des aires d’alimentation en plein air où elles reçoivent «un mélange soigneusement contrôlé à base de maïs, de grain, de foin et de luzerne». D’où la conviction des Yankees selon laquelle leur viande est «plus tendre et plus riche en goût (car) seul un nombre limité de races est utilisé ; ce qui assure une qualité constante à la viande contrairement à la production européenne dont la qualité est extrêmement variable en raison de la grande variété de races utilisées».
Selon leurs statistiques, les Etats-Unis qui comptent 100 millions de têtes de bétail et plus de 100 mille éleveurs produisent «environ 25% de l’approvisionnement mondial en bœuf avec moins de 10% du cheptel mondial».
Le Quotidien
Mais qu’a-t-elle de particulier cette viande de bœuf américaine ? Ses promoteurs la présentent comme une viande reconnue sur le plan mondial «pour sa tendreté, sa succulence et son goût». Des qualités obtenues selon leurs experts par un choix : «Les animaux qui produisent la viande de bœuf aux Etats-Unis sont issus des races à viande, élevés en pâturage et finis dans les ‘’feed lots’’ aux céréales.» C’est-à-dire qu’à l’âge de 15 mois et à une centaine de jours de l’abattage, les bêtes évoluent dans des aires d’alimentation en plein air où elles reçoivent «un mélange soigneusement contrôlé à base de maïs, de grain, de foin et de luzerne». D’où la conviction des Yankees selon laquelle leur viande est «plus tendre et plus riche en goût (car) seul un nombre limité de races est utilisé ; ce qui assure une qualité constante à la viande contrairement à la production européenne dont la qualité est extrêmement variable en raison de la grande variété de races utilisées».
Selon leurs statistiques, les Etats-Unis qui comptent 100 millions de têtes de bétail et plus de 100 mille éleveurs produisent «environ 25% de l’approvisionnement mondial en bœuf avec moins de 10% du cheptel mondial».
Le Quotidien