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GROGNE AU CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL : Les véhicules de Wade sèment la zizanie chez Ousmane Masseck ndiaye

Des membres du Conseil économique et social (Ces) ne sont pas contents de la manière dont des voitures offertes par Wade, sont en train d'être distribuées au sein de l'institution. Ce que minimise la Direction de la communication du Ces qui détaille les critères de répartition de ces véhicules «offerts par le président de la République».


Rédigé par leral.net le Samedi 15 Mai 2010 à 14:29 | | 10 commentaire(s)|

GROGNE AU CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL : Les véhicules de Wade sèment la zizanie chez Ousmane Masseck ndiaye
Des grognements qui se faisaient sourds sont maintenant étalés au grand jour au Conseil économique et social (Ces). La cause de cette poussée de colère, une affaire de distribution de véhicules qui ne satisfait pas tous les conseillers. Une controverse née du fait que des conseillers ne comprennent pas «sur quelles bases» certains de leurs collègues se retrouvent à disposer d'un moyen de locomotion à leur détriment.

En effet, selon des sources concordantes, six (6) Volkswagen Touareg ont été répartis entre les membres du Bureau de l'institution, c'est-à-dire les quatre vice-présidents et les deux (2) Secrétaires élus. Les qua­torze (14) présidents de commission ne sont pas oubliés avec des Volkswagen Passat, des Cherry Eastar et des Hover. Des véhicules de standing, si l'on se fie au site Internet du concessionnaire de ces marques, la Ccbm, où il est mentionné que la Volkswagen Touareg coûte 28 millions de francs Cfa, la Volkswagen Passat 18 millions, la 4x4 Hover 16 millions et la Cherry Eastar 12,5 millions de francs Cfa.

Mais, ce qui rend la situation plus tendue, c'est que quelques véhicules sont disponibles en nombre extrêmement inférieur aux conseillers qui n'ont pas de voiture de fonction. Le dilemme qui se pose, à en croire nos sources, c'est à qui les donner et sur quelle base. Ces conseillers qui ne sont pas contents réclament même un alignement par rapport aux avantages octroyés aux parlementaires du Sénat et de l'Assemblée nationale.

Joint au téléphone, Papa Dieng, le Directeur de la communication du Conseil économique et social, minimise les grincements de dents notés chez des conseillers. «Je comprends que des gens veuillent avoir des voitures au même titre que les députés ou sénateurs, mais i1 ne faut pas oublier que les conseillers n'ont pas de salaire. Ils ont des indemnités», précise M. Dieng qui ajoute, relativement à la provenance des voitures, «c'est le président de la République qui a offert ces voitures. Il a pris dans le parking de la Présidence pour nous appuyer parce que le Conseil n'a pas dans son budget une rubrique 'achat de voitures' ».

Quant aux critères de distribution, le Directeur de la communication soutient que «cela obéit à des textes». Il souligne en outre que ces voitures sont destinées aux membres du Bureau de l'institution, aux présidents de commission et à l'administration.



Auteur: Bachir FOFANA

Sahaba net


1.Posté par ami le 15/05/2010 14:58 | Alerter
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c'est variment regretable des gens qui sont nommés pour servir l'Etat mais qui ne pensent Que se servir de l'Etat voilà la honte du Sénégal. Allez travailler c'est mille fois mieux que de vous chamailler pour des voitures, en principes vos perdiems et indemnités devraient vous suffire pour vous payer des voitures. vraiment vous êtes malhonnetes de réclamer en plus de cela des vehicules qui ne seront pas malheureusement de fonction mais de prestige.

2.Posté par NAFI le 15/05/2010 15:03 | Alerter
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il ont raison de reclamer leur du.Toute la famille du president est servie,sa femme et sa dynastie

3.Posté par Salon de l'automobile .... le 15/05/2010 18:26 | Alerter
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c'est une gratification rendue aux laudateurs et aux futurs électeurs .....
les autres recevront dans l'arrière pays des cacahuètes !

4.Posté par ibson le 15/05/2010 19:01 | Alerter
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c'est toujours le bamboula sur le dos des badolas que nous sommes.au lieu de penser à la vie chére des senegalais ,ils pensent au luxe,aux aventages beats.les senegalais souffrent ces senateurs et depités dansent.mais les sénegalais se sont reveillés depius 2000.que ablaye wade et ses pauvres profitares de la ru-publiques disparaissent .c,est regretable.

5.Posté par mor le 15/05/2010 19:10 | Alerter
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VENTE DE LA LICENCE SUDATEL
Les secrets de la transaction
mercredi 12 mai 2010
En 2007, le sénégal avait décidé de mettre sur le marché une troisième licence de téléphonie mobile.
Dès que l’opération de vente de la licence a été lancée, la compagnie soudanaise a acheté le dossier d’appels d’offres et a fait une proposition technique et financière. Elle a cependant pris la précaution de s’entourer des conseils de lobbyistes arabes et américains associés dans le cadre d’un consortium pour gagner la mise. C’est dire que la partie soudanaise a mené un lobbying intensif auprès des autorités sénégalaises pour obtenir l’attribution d’une licence de téléphonie dans notre pays. Ces mêmes autorités ont été travaillées au corps par ce groupe de lobbyistes arabes. Certains d’entre eux ont été au final floués dans cette affaire. Pourtant, le cabinet a fait du « bon travail » au regard de l’issue des négociations pour le compte de son mandataire, conformément aux termes de référence de sa mission. Trois personnes centrales ont coordonné et animé les pourparlers qui ont abouti à l’achat de la licence par sudatel. Ce sont : hussein abou Basseet, hamsa al hassan et abdel aziz osman. Ces trois personnes-clés ont géré pour le compte de sudatel le lobbying qui a amené les autorités sénégalaises à préférer la société soudanaise à ses concurrents de l’époque. L’accord général conclu entre sudatel et ses lobbyistes prévoyait le paiement d’une commission de 10 millions de dollars (5 milliards cfa) pour les experts qui ont conduit les transactions douteuses avec la partie sénégalaise. Les responsables ont tardé à payer les montants dus. Ils ont d’ailleurs opéré en distinguant dans les procédures de paiement la part des arabes et celle due aux américains.
LES TRACES DES VIREMENTS FRAUDULEUX
Une correspondance du cabinet de lobbyistes en question, datée du 05 décembre 2007, confi rme l’accord conclu avec les mandataires de sudatel. Dans cette lettre, les experts réclament leurs honoraires. Le Directeur dudit cabinet confi e à un de ses collaborateurs la tâche « d’encaisser l’intégralité de la facture impayée pour les services offerts lors de la transaction concernant la licence octroyée à Sudatel par le Sénégal ». Cette facture a été payée pour ce qui concerne les experts américains, alors que rien n’a été fait pour les Arabes qui ont fi ni par attraire sudatel devant les juridictions en tentant d’installer dans la cause l’etat du sénégal.
En outre, la vente de la licence devait donner lieu au paiement de 30 millions de dollars à des responsables sénégalais hauts placés (15 milliards cfa). La Gazette affirmait dans une de ses livraisons que le gap de 20 milliards CFA constaté entre le montant annoncé initialement (100 milliards CFA) et celui retenu en définitive (80 milliards CFA ) avait servi à payer des personnes non encore identifiées, à titre de commissions diverses.
Nous avons obtenu copie d’un ordre de virement émis par la Abu Dabi Islamic Bank qui a effectué le paiement de ces commissions évaluées à 110 100 000 110 100 000 dirhams vers la Al Salam Bank. Ce montant en dirhams, une fois converti sur la base de 3, 56 représente les 30 millions de dollars ci-dessus mentionnés. Un manque à gagner pour le contribuable sénégalais que des étrangers et nationaux se sont partagés après la vente de la licence Sudatel. Ce virement a été fait au profit de la société Red Sea Holding, une compagnie off Shore. Selon des sources, très au fait du dossier, cette société, administrée par un de nos compatriotes installé à Dubaï, appartient à des Sénégalais. Son administrateur est remarquablement bien implanté dans l’Emirat où il opère sur le marché financier local.
Cependant l’argent qui a été viré a juste transité dans les comptes de la Red Sea Holding pour être immédiatement transféré dans des comptes ouverts en Allemagne.
La Gazette est en possession de documents dont un mail par lequel le premier responsable de cette société off Shore, un sénégalais établi à Dubaï, réclame pour le compte de tiers, le paiement de 10 millions de dollars. Nous disions dans nos éditions précédentes que la vente de la licence Sudatel constitue une véritable nébuleuse qui n’a pas fini de dévoiler tous ses secrets. D’ailleurs d’autres documents font état de ces 10 millions de dollars qui doivent être payés au cabinet d’expertise en plus de lever un coin du voile sur des transferts de fonds pour ainsi établir de façon claire le paiement de la commission de 30 millions de dollars. Ce document que nous publions en fac-similé établit également une autorisation de transfert de fonds de l’ordre 100 millions de dollars et de 30 autres millions de dollars.
LES NON-DITS DU DEMENTI DU MINISTRE
Le paiement par Sudatel de la facture due à l’Etat du Sénégal pour opérer dans ce pays ne s’est pas déroulé comme indiqué par le ministère des Finances dans un communiqué rendu public, il y a de cela quelques semaines. La réalité des faits est que 67 millions d’euros ont été transférés par les Soudanais dans une banque allemande (Dresdner Bank de Francfort) alors qu’un autre virement du même montant a été fait à la banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Ce sont, d’ailleurs, ces virements que le ministère des Finances indiquait dans son communiqué-réponse à notre enquête, sous forme de mise au point parue dans la presse locale. Il avait cependant omis de faire mention de l’avis de crédit d’un montant de 110 100 000 110 100 000 dirhams déposés pour le compte de Red Sea Holding à Al Salam Bank de Dubaï.
Dans le communiqué en question, il est dit que « Sudatel a réglé la totalité de la licence par deux virements sur un compte du trésorier général du Sénégal à l’agence nationale de la BCEAO. Un premier virement de 100 526 226,14 dollars crédité sur le compte du trésorier général en date du 19 novembre 2007 d’un montant de 44 775 208 727 F Cfa soit 68 229 365,67 d’Euros. Un second virement de 99 473 773 99 473 773, 46 dollars toujours crédité sur le compte du trésorier général d’un montant de 44 306 437 814 F Cfa soit 67 544 729 67 544 729, 02 Euros ».
Contrairement à ce qui est mentionné dans le communiqué, les relevés dont nous disposons montrent que l’argent n’a pas été directement versé dans le compte du trésorier général. Le premier virement, en provenance de la Islamic Bank d’Abu Dabi, a transité par d’autres comptes (à la Dresdner Bank AG de Francfort et à la Société générale de banque à Paris) avant d’atterrir à la United Arab Bank d’Abu Dabi. S’agissant maintenant du second versement, il a été bien envoyé à la BCEAO au nom du gouvernement sénégalais. La gazette détient des preuves écrites qui confi rment effectivement que les arabes qui réclament au gouvernement du sénégal leur part de millions de dollars dans le partage du gâteau de sudatel, ont saisi la justice d’abu dabi pour rentrer dans leurs fonds. Ils ont attaqué à la fois le gouvernement sénégalais et sudatel pour défaut de paiement. D’ailleurs, les responsables de sudatel ont même été convoqués par le tribunal de première instance de dubaï. Pour éviter que l’affaire ne fasse trop de vagues au soudan et n’éclabousse certains hauts responsables, les parties en confl it ont d’un commun accord décidé de saisir un arbitre ayant déjà rendu son verdict et condamné les parties défaillantes à s’exécuter.
Pour la partie arabe, le juge arbitral a décidé de leur allouer 2 millions de dollars (1 milliard cfa). selon nos sources, certains milieux au soudan exigent qu’une enquête soit diligentée contre les anciens responsables de sudatel, pour établir le montant exact des commissions payées en plus de déterminer le préjudice subi par la compagnie nationale, sudatel. D’après des informations recueillies auprès de sources à abu dabi, l’ancien directeur général de l’artp, daniel goumalo seck, a été entendu comme témoin par la justice de ce pays afi n de déterminer quels étaient les fondements des prétentions des arabes qui réclament des paiements de commissions.
Ce dernier a témoigné en faveur des autorités de la société sudatel qui ont soutenu devant le juge arbitral que les arabes qui leur réclament des commissions dans la transaction intervenue entre elle et le gouvernement sénégalais devaient être déboutés car n’ayant rien fait pour l’octroi de la licence. le tribunal arbitral, nous l’avons déjà dit, ne les a pas suivis. Aussi sudatel a-t-elle été condamnée à payer un principal et des dommages et intérêts aux requérants.
L’IGE L’AVAIT FLAIRE
lors de leur passage aux fi ns d’inspection à l’artp, pour faire la lumière sur les primes exceptionnelles, les inspecteurs généraux d’etat avaient été intrigués par l’écart constaté entre le montant de 100 milliards cfa déclaré au préalable et les 80 milliards offi cialisés par les pouvoirs publics. l’ige s’était d’ailleurs interrogée en ces termes : « la différence de 20 milliards est assez grande pour une simple erreur de conversion ? » aujourd’hui, la réalité est que beaucoup de milliards ont été soustraits aux sénégalais. c’est d’ailleurs ce qui justifi e toutes les confusions volontairement entretenues par les autorités, notamment, sur le coût réel de la licence de sudatel. Théoriquement, le troisième opérateur de téléphonie mobile a acquis sa licence après avoir versé 200 millions de dollars à l’etat. ce montant a été évalué, dans un premier temps, par les autorités en charge de cette affaire, à 100 milliards de fcfa. par une pirouette extraordinaire, les mêmes autorités sont revenues pour annoncer la somme de 80 milliards de fcfa. récemment, le ministère des finances a apporté du nouveau en déclarant 89 milliards cfa, pour essayer de battre en brèche des informations publiées par la gazette.
Nos dirigeants ont justifié l’écart de milliards constaté par le changement de taux du dollar. un argument laborieux qui peine à convaincre ! au moment où les nouvelles autorités installées au pouvoir en 2000, expliquaient offi ciellement que la privatisation de la senelec avait été faite dans des conditions inacceptables au profi t du groupe franco-québécois (hydro-québec), elles avaient soutenu qu’une nouvelle privatisation serait engagée dans la transparence totale. Le gouvernement expliquait surtout en privé que de fortes sommes avaient été payées sous forme de commissions aux socialistes sortants qui avaient accepté, disait-il, de brader un instrument économique national d’importance capitale. Comme si le ridicule ne tuait pas, nos autorités poursuivent et mettent aujourd’hui la compagnie millicom qui exploite la deuxième licence de téléphonie au sénégal, dans une situation intenable.
Alors que pour l’octroi d’une licence à sudatel, elles ont accepté et favorisé le paiement de commissions occultes diverses dont la gazette a pu remonter les traces jusque dans les banques arabes et allemandes.
Alioune Badara COULIBALY et pape adama TOURE

6.Posté par ABDOU SEYE le 15/05/2010 20:00 | Alerter
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VRAIMENT JE SUIS DÉSOLE D'ENTENDRE DES CONSEILLERS RECLAMMER DES VEHICULES ET D'AUTRES PRIVILEGES COMME DES PARLEMENTAIRES.ET POURTANT ILS SAVENT TRES BIEN QU'ILS N'ONT PAS AU SALAIRES NI VEHICULES DE FONCTION C BIEN ECRIT NOIR SUR BLANC DANS LA LOI ORGANIQUE REGISSANT LE CES.DONC POURKOI RALLER DANS LA PRESSE. ET POURTANT LE PEUPLE COMMENCER A APPRECIER LEURS TRAVAIL EN CONVOCANT DES MINISTRES POUR INTERPELLER ET DONNER LE DES AVIS SUR DES PROBLEMES RECURRANTS QUI COMMENCENT A TROUVER DES SOLUTIONS. CHERS CONSEILLERS ARRETER VOS PRETENTIONS. VOUS ETES DE GACHER LE TRAVAIL QUE VOUS AVEZ COMMENCER VOUS VOTRE PRESIDENT OUSMANE MASSECK NDIAYE. SOYEZ DES PATRIOTES. FAUT JAMAIS VOUS COMPARER DES AUTRES INSTITUTIONS BUDGETIVORES AU MOINS VOUS LE PEUPLE VOIT VOTRE PATRIOTISME. ENCORE UNE FOIS DE PLUS MERCI POUR VOS AVIS ET CONSEILS CONCERNANT :LE LOYER .LA SANTE L'EDUCATION.LA PECHE ETC.......

7.Posté par doudou le 16/05/2010 20:52 | Alerter
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Ecouter !il faut etre sérieux , les membres du ces que nous sommes ne réclamons pas tous des véhucules comme nos collégues des deux autres chambres qui en ont le droit , nous nous savons qu'on n' a droit ;Mais il y a bien probléme avec ces vehicule et voila la question que poses tous les membres du c.e.s MR LE PRESIDENT SECK POURQUOI Mme SIDIBE a bénéficié d'une hower (16000.000FRS) alors que vous savez bien qu'elle n'est ni mambre du bureau,ni secretaire elu ,ni de l'administration ;elle n'est que simple conseillere et d'ailleur elle ne fait meme pas partie de la liste des 80 CONSEILLERS TITULAIRES. ELLE FAIT PARTIE DE CETTE LISTE ADDITIVE DES 40 CONSELLERS QUI NE GERENT QU'un mandat d'un an renouvelable ; PAPE DIENG LE CONSELLER EN COMMUNICATION devra se gener pour s'expliquer il sait tres bien que le probleme des véhicule cest justement ( pourquoi Mme khady DIA SIDIBE et pas les autres,?)
IL Y A BIEN ANGUILLE SOUS LE BAOBAB . PAPE DIENG SOYONS SERIEUX ET SVP NE NOUS DISTRAIT PAS LA QUESTION POURQUOI CETTE DAME ET NON LES AUTRES . VOUS SAVEZ ET NOUS SAVONS ET NOUS DENONSONS IL Y A BIEN MANGOUILLE . CEST PAS AVEC DES APPUIS DU PRESIDENT QUON PAYE DES SERVICE RENDUS A TON PATRON . SOYEZ PLUS MORAL ! ! ! ! !

8.Posté par amy le 16/05/2010 21:12 | Alerter
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Oui ! moi en temps que femme membre de cette institution j'ai été écoeurée de lire les réponses de MR PAPE DIENG conseiller en communication du C.E.S qui a parlé en faux ;au C.E.S nous ne réclamons pas tous des véhicules car nous n'avons pas le droit ;nous dénonsons une injustice . EFFECTIVEMENT POURQUOI LE PRESIDENT MASSECK AFFECTE UNE HOWER A Mme KHADY DIA SIDIBE ? ELLE N EST PAS MEMBRE DU BUREAU , elle n est pas secretaire élu ,elle n'est pas de l'administration . Alors pourquoi ? ? ? Mr le conseiller vous savez bien que c'est pas clean ! ! ici les couloirs ont des oreilles ; moi je suis dégoutée ! des fois je ne veux meme pas etre femme et voila aussi pourquoi j'ai peur du nouvel outil que la nation vient de confier je veux parler de LA PARITE de grace ( nioune femmes nanou changer touty té ame foula )

9.Posté par fifi le 16/05/2010 23:56 | Alerter
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lolou dal sen affaire la, c'est entre minables wanté kou diwo bann takha souf; kou diwo lemm tamit sankhalègne topa la.
Doudou ak Ami khamouma folène diangué lak ak binda nassarane mais mokaloulène ko dara. Nafar touti bakhna. J'espère, tout de même, que vous arrivez à faire appel à votre bon sens de temps en temps.

10.Posté par mbathio drianké le 17/05/2010 00:11 | Alerter
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franchement c tous des tetes brulés au conseil eco en commençant par AMADOU KANE LE GRAND VOLEUR

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