Le chef de l’Etat, arrivé à Conakry en début d’après-midi, n’a toutefois pas mentionné de date pour la tenue des élections, prévues en octobre 2009, pour les législatives et en décembre de la même année pour la présidentielle.
En raison de retards dans les préparatifs et de l’absence d’une volonté politique forte, de nombreux observateurs craignent un report des scrutins. « Je recommande au président Dadis de privilégier le dialogue. Que les partis politiques évitent l’ethnocentrisme, cela ne peut pas construire la Guinée, cela ne fera qu’accentuer les clivages », a souligné le président Wade. « Je suis prêt à aider votre pays la Guinée », a-t-il souligné. « Je suis venu m’entretenir avec mon ‘fils’. Sachez que dès la prise du pouvoir par le capitaine Dadis Camara, il m’a téléphoné pour me dire : ‘je me confie à vous’ », a assuré le chef de l’Etat. « Je suis venu m’informer de la situation et m’enquérir de l’évolution de la transition » vers les élections, a-t-il poursuivi. Il a eu un premier entretien à l’aéroport de Conakry avant de rencontrer, dans l’après-midi, des dirigeants politiques, de la société civile et des syndicats.
AFP
En raison de retards dans les préparatifs et de l’absence d’une volonté politique forte, de nombreux observateurs craignent un report des scrutins. « Je recommande au président Dadis de privilégier le dialogue. Que les partis politiques évitent l’ethnocentrisme, cela ne peut pas construire la Guinée, cela ne fera qu’accentuer les clivages », a souligné le président Wade. « Je suis prêt à aider votre pays la Guinée », a-t-il souligné. « Je suis venu m’entretenir avec mon ‘fils’. Sachez que dès la prise du pouvoir par le capitaine Dadis Camara, il m’a téléphoné pour me dire : ‘je me confie à vous’ », a assuré le chef de l’Etat. « Je suis venu m’informer de la situation et m’enquérir de l’évolution de la transition » vers les élections, a-t-il poursuivi. Il a eu un premier entretien à l’aéroport de Conakry avant de rencontrer, dans l’après-midi, des dirigeants politiques, de la société civile et des syndicats.
AFP