Les partisans de Souleymane Ndéné Ndiaye qui étaient en assemblée générale le mardi 23 mars, disent « rétablir la vérité » face aux « fausses » allégations selon lesquelles la majeure partie des responsables (présidents de conseil ruraux, et autres élus) ont cessé de travailler aux côtés de Souleymane Ndéné Ndiaye pour le compte du parti. Ils démontrent que les personnes citées sont toujours restées fidèles au Premier ministre, secrétaire général de la défunte section libérale Guinguinéo.
Les partisans de Souleymane Ndéné Ndiaye sont plus que jamais déterminés à faire face à Farba Senghor, ses protecteurs et à toute éventualité. Les responsables libéraux, pour la plupart, présidents et vice-présidents de conseil rural, venus de Ndiago, Khelcom, Nguélou, Gagnick, et Ngathie, trouvent que « le fait que Farba Senghor infiltre une base contrôlée par Souleymane Ndéné Ndiaye ne ressort que de l’arbitraire. Même protégé quelque part par des gens encore tapis dans l’ombre ».
D’autres de poursuivre : « le coordonnateur national des opérations de placement des cartes libérales, est maladroit et impertinent dans sa démarche, entamée dans un moment stratégique et un contexte où chaque responsable doit faire preuve de patience ». Ils soutiennent que « les choses sont claires pour l’instant, c’est un combat ouvert entre l’intellectuel et le vernaculaire, donc une bataille pour laquelle le dernier protagoniste aura peu de chances de voir ses manœuvres prospérer ».
Dans le camp de Farba par contre, les attaques à outrance contre le maire de la commune de Guinguinéo persistent de plus en plus, et partout dans les couloirs libéraux de Kaolack, on prête une attention particulière à ce différend tout en s’attendant encore à des moments décisifs dans les semaines à venir. Car pour le camp du Premier ministre on reste toujours sur la défensive, prêt à répondre à toute attaque contre leur responsable.
Les partisans de Souleymane Ndéné Ndiaye sont plus que jamais déterminés à faire face à Farba Senghor, ses protecteurs et à toute éventualité. Les responsables libéraux, pour la plupart, présidents et vice-présidents de conseil rural, venus de Ndiago, Khelcom, Nguélou, Gagnick, et Ngathie, trouvent que « le fait que Farba Senghor infiltre une base contrôlée par Souleymane Ndéné Ndiaye ne ressort que de l’arbitraire. Même protégé quelque part par des gens encore tapis dans l’ombre ».
D’autres de poursuivre : « le coordonnateur national des opérations de placement des cartes libérales, est maladroit et impertinent dans sa démarche, entamée dans un moment stratégique et un contexte où chaque responsable doit faire preuve de patience ». Ils soutiennent que « les choses sont claires pour l’instant, c’est un combat ouvert entre l’intellectuel et le vernaculaire, donc une bataille pour laquelle le dernier protagoniste aura peu de chances de voir ses manœuvres prospérer ».
Dans le camp de Farba par contre, les attaques à outrance contre le maire de la commune de Guinguinéo persistent de plus en plus, et partout dans les couloirs libéraux de Kaolack, on prête une attention particulière à ce différend tout en s’attendant encore à des moments décisifs dans les semaines à venir. Car pour le camp du Premier ministre on reste toujours sur la défensive, prêt à répondre à toute attaque contre leur responsable.