« La nouvelle a fait l’effet d’une bombe. Dans la nuit du 30 au 31 octobre 2013, Patience Dabany, mère d’Ali Bongo Ondimba, a réuni un escadron de la mort avec pour mission d’éliminer physiquement, avant janvier 2014, Désiré Ename, directeur de Publication du journal Echos du Nord, et Jean de Dieu Ntoutoume Eyi, directeur de Publication du journal Edzombolo », déclare l’hebdomadaire Echos du Nord. Cet escadron était composé d’un commandant en second de l’armée, d’un capitaine du corps des Bérets rouges, d’un adjudant-chef major de la garde républicaine et d’un élément des Bérets rouges.
L’hebdomadaire Echos du Nord déclare que l’avocat des personnes visées, maître Paulette Oyane Ondo, affirme détenir l’identité complète des personnes ayant pris part à la réunion au cours de laquelle l’assassinat de Désiré Ename et de Jean de Dieu Ntoutoume Eyi a été planifié, ainsi que les numéros des plaques minéralogiques des voitures utilisées ce soir-là, sans citer des sources indépendantes.
Selon notre source, l’avocat des deux directeurs de Publication, via internet, a déjà mobilisé la communauté internationale au sujet de ce projet d’assassinat, notamment aux USA et en Afrique. En réaction à l’alerte de l’avocat, le Réseau des défenseurs des droits humains en Afrique centrale dont le siège est à Douala, au Cameroun, a déjà publié un communiqué qui devait être transmis ce lundi aux autorités gabonaises. Au Togo, les journalistes ont tenu une conférence de presse le week-end à Lomé, pour dénoncer le projet d’assassinat de leurs collègues gabonais, rapporte notre source.
Patience Dabany n’a pas encore réagi au sujet des allégations du journal. S’agit-il de faits réels ou d’une simple campagne médiatique destinée à ternir l’image de la mère du chef de l’Etat, qui veut faire son entrée en politique au cours des locales du 14 décembre 2013 ? Une question que se posent bon nombre de Gabonais en ce moment.
Source: Afrik.com
L’hebdomadaire Echos du Nord déclare que l’avocat des personnes visées, maître Paulette Oyane Ondo, affirme détenir l’identité complète des personnes ayant pris part à la réunion au cours de laquelle l’assassinat de Désiré Ename et de Jean de Dieu Ntoutoume Eyi a été planifié, ainsi que les numéros des plaques minéralogiques des voitures utilisées ce soir-là, sans citer des sources indépendantes.
Selon notre source, l’avocat des deux directeurs de Publication, via internet, a déjà mobilisé la communauté internationale au sujet de ce projet d’assassinat, notamment aux USA et en Afrique. En réaction à l’alerte de l’avocat, le Réseau des défenseurs des droits humains en Afrique centrale dont le siège est à Douala, au Cameroun, a déjà publié un communiqué qui devait être transmis ce lundi aux autorités gabonaises. Au Togo, les journalistes ont tenu une conférence de presse le week-end à Lomé, pour dénoncer le projet d’assassinat de leurs collègues gabonais, rapporte notre source.
Patience Dabany n’a pas encore réagi au sujet des allégations du journal. S’agit-il de faits réels ou d’une simple campagne médiatique destinée à ternir l’image de la mère du chef de l’Etat, qui veut faire son entrée en politique au cours des locales du 14 décembre 2013 ? Une question que se posent bon nombre de Gabonais en ce moment.
Source: Afrik.com