On a parfois de la peine à y croire, vu le caractère inhabituel et irrationnel que revêtent certains faits, qui donneraient facilement à penser qu´il s´agirait plus, ou parfois, de purs montages, voire des histoires toutes trouvées, sorties droit de l´imagination populaire encore très marquée par la superstition.
B.M, 42 ans, est une femme sonnée. Son conjoint n’était en réalité qu’un véritable démon à visage humain. La jeune femme aura vécu un véritable cauchemar près d’un an durant. G.A, 59 ans, fonctionnaire au ministère des finances, avec qui elle a convolé en justes noces en 2013 était non seulement un homme déjà marié mais un adepte des pratiques mystiques dignes des films d’horreur nigérians.
Selon des témoignages concordants, le quinquagénaire se métamorphosait en python au milieu de la nuit et exerçait une influence mystique sur sa compagne et les deux enfants de cette dernière. La maisonnée le surprenait en pleine métamorphose. Le cauchemar de la jeune femme a commencé après la formalisation de leur union.
C’était un couple peu ordinaire. Les deux tourtereaux n’auraient eu des rapports sexuels qu’une seule fois: la nuit des noces. Après la courte lune de miel, l’homme aurait versé dans des dogmes terribles, se montrant réfractaire à tous rapports sexuels avec la femme qu’il avait rencontrée pour la première fois en 2009 alors qu’il était tenté par la fornication.
Visage démoniaque
G.A, n’a pas tardé à révéler son vrai visage démoniaque, faisant des pratiques occultes qui troublaient la tranquillité du couple et de toute la maison. Aussitôt après avoir emmené la conjointe dans son appartement au 7è étage d’un immeuble situé derrière l’Union gabonaise des banques (UGB), G.A a décliné des principes rigides devant régir la vie du couple qu’il formait avec B.M, alors directeur général d’une société immobilière.
Il lui a formellement interdit de dire à quiconque tout ce qu’elle pouvait constater comme anomalies dans sa maison. La deuxième interdiction concernait les visites. Ni ses parents, ni ceux de la femme ne pouvaient accéder à son domicile sans son consentement. « Même si quelqu’un cognait à la porte, la femme était tenue d’avoir son accord avant d’accueillir l’hôte », a expliqué.
Très vite, les relations entre les deux conjoints se sont dégradées. Des différences inconciliables sont apparues au sein de couple. Lorsque sa femme exprimait un désir sexuel, G.A arguait d’un prétendu feu que portait sa compagne, du reste, fidèle de l’église du réveil « Arrêtez de souffrir. »
Résolu à avoir de l’emprise sur la jeune femme, le quinquagénaire lui a demandé de briser avec son l’église, promettant ouvrir la sienne. Mais G.A refusait d’abdiquer. Devant son entêtement, le fonctionnaire des finances a profité de l’absence de sa conjointe pour vider tous effets de la chambre conjugale et de les ranger dans une autre pièce de la maison.
Pour continuer à exercer une influence mystico-spirituelle sur son épouse, a renchéri la source, G.A a enlevé toutes les serrures de la pièce afin d’y accéder à n’importe quel moment de la nuit lors de ses voyages mystiques. Au plus fort du malaise dans la maison, B.M s’est réveillée au milieu de la nuit pour oindre l’huile d’onction sur les photos affichées au mur du salon.
Python
La réaction du maître des lieux a été immédiate, lui qu’elle croyait pourtant profondément endormie. Il a surgi pour déchirer toutes les photos, accusant sa compagne de vouloir lui nuire. Se sentant dominé par la chrétienne dévouée, G.A a sommé cette dernière de quitter sa maison. Devant le refus qu’elle a opposé il est passé à la vitesse supérieure.
Il a répandu une poudre magique à la douche des visiteurs utilisée par son épouse et les deux enfants de cette dernière. Le climat s’est davantage dégradé dans la maison. Un jour, en rentrant de l’église, B.M a retrouvé son époux à moitié python, à moitié homme dans la chambre où il était esseulé. Prise de panique, la jeune femme a rebroussé chemin.
Elle a commencé à donner raison à sa fille de 6 ans, qui lui avait déjà dit avoir vu son père nourricier se transformer en serpent. Chaque fois qu’elle fermait les yeux, elle voyait un serpent géant devant elle. L’ancienne épouse du fonctionnaire dont elle a fait connaissance chemin faisant lui a fait comprendre qu’elle avait déserté le foyer après y avoir surpris G.A en train de se métamorphoser en serpent.
B.M qui craignait pour sa vie a pris le large. Ayant perdu son emploi à la suite des maléfices qui l’auraient assaillie, elle est allée s’installer à la maison familiale à Owendo. Pour couper tout lien avec elle, G.A a profité du décès tragique de son frère à Franceville pour se faire passer pour le mort. Il mandaté ses proches d’annoncer, le 4 septembre dernier, la nouvelle à sa conjointe. L’affabulation a été faite dans les règles de l’art.
Se considérant comme veuve, B.M a effectué le déplacement sur Franceville, le 5 septembre. Arrivée à Franceville, elle a été soumise à faire le veuvage. Ses beaux-parents lui ont coupé les cheveux, conformément aux us et coutumes du mari. Après les funérailles, B.M est revenue sur Libreville. Quelques semaines plus tard, elle a découvert que son époux n’était pas mort, que c’était plutôt son frère.
Source: Koaci.com
B.M, 42 ans, est une femme sonnée. Son conjoint n’était en réalité qu’un véritable démon à visage humain. La jeune femme aura vécu un véritable cauchemar près d’un an durant. G.A, 59 ans, fonctionnaire au ministère des finances, avec qui elle a convolé en justes noces en 2013 était non seulement un homme déjà marié mais un adepte des pratiques mystiques dignes des films d’horreur nigérians.
Selon des témoignages concordants, le quinquagénaire se métamorphosait en python au milieu de la nuit et exerçait une influence mystique sur sa compagne et les deux enfants de cette dernière. La maisonnée le surprenait en pleine métamorphose. Le cauchemar de la jeune femme a commencé après la formalisation de leur union.
C’était un couple peu ordinaire. Les deux tourtereaux n’auraient eu des rapports sexuels qu’une seule fois: la nuit des noces. Après la courte lune de miel, l’homme aurait versé dans des dogmes terribles, se montrant réfractaire à tous rapports sexuels avec la femme qu’il avait rencontrée pour la première fois en 2009 alors qu’il était tenté par la fornication.
Visage démoniaque
G.A, n’a pas tardé à révéler son vrai visage démoniaque, faisant des pratiques occultes qui troublaient la tranquillité du couple et de toute la maison. Aussitôt après avoir emmené la conjointe dans son appartement au 7è étage d’un immeuble situé derrière l’Union gabonaise des banques (UGB), G.A a décliné des principes rigides devant régir la vie du couple qu’il formait avec B.M, alors directeur général d’une société immobilière.
Il lui a formellement interdit de dire à quiconque tout ce qu’elle pouvait constater comme anomalies dans sa maison. La deuxième interdiction concernait les visites. Ni ses parents, ni ceux de la femme ne pouvaient accéder à son domicile sans son consentement. « Même si quelqu’un cognait à la porte, la femme était tenue d’avoir son accord avant d’accueillir l’hôte », a expliqué.
Très vite, les relations entre les deux conjoints se sont dégradées. Des différences inconciliables sont apparues au sein de couple. Lorsque sa femme exprimait un désir sexuel, G.A arguait d’un prétendu feu que portait sa compagne, du reste, fidèle de l’église du réveil « Arrêtez de souffrir. »
Résolu à avoir de l’emprise sur la jeune femme, le quinquagénaire lui a demandé de briser avec son l’église, promettant ouvrir la sienne. Mais G.A refusait d’abdiquer. Devant son entêtement, le fonctionnaire des finances a profité de l’absence de sa conjointe pour vider tous effets de la chambre conjugale et de les ranger dans une autre pièce de la maison.
Pour continuer à exercer une influence mystico-spirituelle sur son épouse, a renchéri la source, G.A a enlevé toutes les serrures de la pièce afin d’y accéder à n’importe quel moment de la nuit lors de ses voyages mystiques. Au plus fort du malaise dans la maison, B.M s’est réveillée au milieu de la nuit pour oindre l’huile d’onction sur les photos affichées au mur du salon.
Python
La réaction du maître des lieux a été immédiate, lui qu’elle croyait pourtant profondément endormie. Il a surgi pour déchirer toutes les photos, accusant sa compagne de vouloir lui nuire. Se sentant dominé par la chrétienne dévouée, G.A a sommé cette dernière de quitter sa maison. Devant le refus qu’elle a opposé il est passé à la vitesse supérieure.
Il a répandu une poudre magique à la douche des visiteurs utilisée par son épouse et les deux enfants de cette dernière. Le climat s’est davantage dégradé dans la maison. Un jour, en rentrant de l’église, B.M a retrouvé son époux à moitié python, à moitié homme dans la chambre où il était esseulé. Prise de panique, la jeune femme a rebroussé chemin.
Elle a commencé à donner raison à sa fille de 6 ans, qui lui avait déjà dit avoir vu son père nourricier se transformer en serpent. Chaque fois qu’elle fermait les yeux, elle voyait un serpent géant devant elle. L’ancienne épouse du fonctionnaire dont elle a fait connaissance chemin faisant lui a fait comprendre qu’elle avait déserté le foyer après y avoir surpris G.A en train de se métamorphoser en serpent.
B.M qui craignait pour sa vie a pris le large. Ayant perdu son emploi à la suite des maléfices qui l’auraient assaillie, elle est allée s’installer à la maison familiale à Owendo. Pour couper tout lien avec elle, G.A a profité du décès tragique de son frère à Franceville pour se faire passer pour le mort. Il mandaté ses proches d’annoncer, le 4 septembre dernier, la nouvelle à sa conjointe. L’affabulation a été faite dans les règles de l’art.
Se considérant comme veuve, B.M a effectué le déplacement sur Franceville, le 5 septembre. Arrivée à Franceville, elle a été soumise à faire le veuvage. Ses beaux-parents lui ont coupé les cheveux, conformément aux us et coutumes du mari. Après les funérailles, B.M est revenue sur Libreville. Quelques semaines plus tard, elle a découvert que son époux n’était pas mort, que c’était plutôt son frère.
Source: Koaci.com